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46 - Des Abts von Marigny Geschichte der Araber unter der Regierung der Califen /

Allein, wie bald wurden nicht alle diese glänValidsGottlosigkeit.zende Eigenschaften verdunkelt. Und wie sehr grämte sich nicht Hescham, als er sah, daß dieser junge Prinz, der sein Augapfel war, und den er wie seinen eigenen Sohn liebte, in seinen Pflichten von Tage zu Tage mehr nachließ: Er gab ihm zwar gleich anfangs diesfalls eini Valid II.Hegire 125.n. C. G. 742ge Erinnerungen, und es schien auch, als wenn sie sehr wohl aufgenommen würden. Allein, ihre erwünschte Würkung blieb aus. Valid fuhr in seiner Unordnung fort. Und bald verleiteten ihn seine verdorbene Sitten zu einem ruchlosen und atheistischen Leben. Vom Alcoran redete er verächtlich, und man sagt so gar, daß er denselben einsmals in der Gesellschaft junger Leute, die damals seinen kleinen Hof ausmachten, mit Füssen getreten habe.


47 - Des Abts von Marigny Geschichte der Araber unter der Regierung der Califen /

Die Herrrschaft der Abbaßiden hat sich sowohl durch ihre lange Dauer, als auch durch die grossen Männer, so in derselben geblühet haben, sehr berühmt gemacht; besonders aber ist sie durch den Flor der Wissenschaften und Künste, so dieselben unter den Prinzen dieses erlauchten Hauses erhielten, merkwürdig geworden. Alle Abbasiden überhaupt haben den Ruhm hinterlassen, daß sie sehr gelehrt gewesen sind. Die Ommiaden hingegen waren nicht allein gröstentheils selbst sehr unAboul - Abbas.Hegire 134n. C. G. 752wissend, sondern sahen auch Blutwenig auf Wissenschaft. Ausser ihrem Alcoran kannten sie gar keine Bücher, und alle übrigen hielten sie für unbrauchbar, ja gar für gefährlich


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DE L'ALCORAN ET DE MAHOMET.


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quel autre que Dieu peut avoir composé l'Alcoran?

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Il prétendoit qu'il y avoit cinq cens années de chemin d'une planete à une autre, & qu'il fendit la Lune en deux. Ses disciples, qui rassemblérent solemnellement les Versets de son Koran après sa mort, retranchérent ce voyage du ciel. Ils craignérent les railleurs & les Philosophes. C'étoit avoir trop de délicatesse. Ils pouvoient s'en fier aux commentateurs, qui auroient bien sû expliquer l'itineraire. Les amis de Mahomet devoient savoir parexperience, que le merveilleux est la raison du Peuble. Les Sages contredisent en secret, & le Peuble les fait taire. Mais en retranchant l'itineraire des planetes on laissa quelques petits mots sur l'avanture de la Lune; on ne peut pas prendre garde à tout.


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Le Koran est une rapsodie sans liaison, sans ordre, sans art; on dit pourtant, que ce livre ennuyeux est un fort beau livre; je m'en rapporte aux Arabes, qui prétendent qu'il est écrit avec une élégance & une pureté, dont personne n'a approché depuis.


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C'est un poëme ou une espece de prose rimée, qui contient six mille vers. Il n'y a point de Poëte dont la personne & l'ouvrage ayent fait une telle fortune. On agita chez les Musulmans, si l'Alcoran étoit éternel, ou si Dieu l'avoit crée pour le dicter à Mahomet. Les Docteurs decidérent, qu'il étoit éternel; ils avoient raison, cette éternité est bien plus belle que l'autre opinion. Il faut toujours avec le Vulgaire prendre le parti le plus incroyable.


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Mahomet laissa dans sa loi beaucoup de choses qu'il trouva établies chez les Arabes, la circoncision, le jeûne, le voyage de la Meque qui étoit en usage quatre mille ans avant lui, les ablutions si nécessaires à la santé & à la propreté dans un païs brûlant où le linge étoit inconnu, enfin l'idée d'un jugement dernier que les Mages avoient toujours établie, & qui étoit parvenue jusqu'aux Arabes. Il est dit, que comme il annonçoit qu'on resusciteroit tout nu, Aïshca sa femme trouva la chose immodeste & dangereuse; allez ma Bonne, lui dit-il, on n'aura par alors envie de rire. Un Ange selon le Koran doit peser les hommes & les femmes dans une grande balance. Cette idée est encor prise des Mages. Il leur a volé aussi leur point aigu, sur lequel il faut passer après la mort & leur Jannat, où les élus Musulmans trouveront des bains, des appartemens bien meublés, de bons lits & des ouris avec des grands yeux noirs. Il est vrai aussi qu'il dit, que tous ces plaisirs des sens, n'approcheront pas du plaisir de la contemplation de l'Etre supreme. Il a l'humilité d'avouer dans son Koran que lui même n'ira point en Paradis par son propre mérite, mais par la pure volonté de Dieu. C'est aussi par cette pure volonté divine qu'il ordonne que la cinquiéme partie des depouilles sera toujours pour le Prophete.


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Mahomet laissa dans sa loi beaucoup de choses qu'il trouva établies chez les Arabes, la circoncision, le jeûne, le voyage de la Meque qui étoit en usage quatre mille ans avant lui, les ablutions si nécessaires à la santé & à la propreté dans un païs brûlant où le linge étoit inconnu, enfin l'idée d'un jugement dernier que les Mages avoient toujours établie, & qui étoit parvenue jusqu'aux Arabes. Il est dit, que comme il annonçoit qu'on resusciteroit tout nu, Aïshca sa femme trouva la chose immodeste & dangereuse; allez ma Bonne, lui dit-il, on n'aura par alors envie de rire. Un Ange selon le Koran doit peser les hommes & les femmes dans une grande balance. Cette idée est encor prise des Mages. Il leur a volé aussi leur point aigu, sur lequel il faut passer après la mort & leur Jannat, où les élus Musulmans trouveront des bains, des appartemens bien meublés, de bons lits & des ouris avec des grands yeux noirs. Il est vrai aussi qu'il dit, que tous ces plaisirs des sens, n'approcheront pas du plaisir de la contemplation de l'Etre supreme. Il a l'humilité d'avouer dans son Koran que lui même n'ira point en Paradis par son propre mérite, mais par la pure volonté de Dieu. C'est aussi par cette pure volonté divine qu'il ordonne que la cinquiéme partie des depouilles sera toujours pour le Prophete.


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Il n'est pas vrai, qu'il exclue du Paradis les femmes. Il n'y a pas d'apparence, qu'un homme aussi habile ait voulu se brouiller avec cette moitié du genre humain, qui conduit l'autre. Abulfeda rapporte, qu'une vieille l'importunant un jour en lui demandant, ce qu'il falloit faire pour aller en Paradis, m'amie, lui dit-il, le Paradis n'est pas pour les vieilles. La bonne femme se mit à pleurer, & le Prophete pour la consoler, lui dit: il n'y aura point de vieilles parce qu'elles rajeuniront. Cette doctrine consolante est confirmée dans le 54 chapitre du Koran.


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Le grand Prophete essuya la disgrace commune à tant de maris; il n'y a personne après cela qui puisse se plaindre. On connait le nom de celui qui eut les faveurs de sa seconde femme la belle Aïshca; il s'appelloit Assuan.Mahomet se comporta avec plus de hauteur que César qui répudia sa femme, disant, qu'il ne falloit pas que la femme de César fut soupçonnée. Le Prophete ne voulut pas même soupçonner la sienne, il fit descendre du Ciel un chapitre du Koran pour affirmer que sa femme étoit fidelle. Ce chapitre étoit écrit de toute éternité aussi bien que tous les autres.


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  • Von dem Korane und dem Mahomed.

  • 58 - /

    Von dem Korane

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    Wer anders, als Gott, kann den Koran abgefaßt haben

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    Er gab vor, es wäre ein Weg von fünf hundert Jahren, aus einem Irrsterne in den andern, und dieser theilte den Mond in zwey Theile. Seine Schüler, die nach seinem Tode die Verse des Koran auf Von dem Korane das sorgfältigste zusammen suchten, ließen die Reise nach dem Himmel weg. Sie fürchteten sich für den Spöttern und für den Weltweisen. Diese Behutsamkeit schien zu weit getrieben zu seyn. Sie durften sich nur auf die Ausleger verlassen, welche die Reisebeschreibung schon würden zu erklären gewußt haben. Die Freunde des Mahomeds konnten aus der Erfahrung wissen, daß das Wunderbare dieVernunft des Volks sey. Die Weisen und Verständigen widersprechen heimlich, und das Volk bringt sie zum Stillschweigen. Allein, indem man die Reisebeschreibung von den Planeten ausließ, so ließ man doch ein Wort von dem Monde stehen. Man kann nicht auf alles Acht haben.