Suchbegriff: pers
Treffer: 14

1 - An Essay on Dramatick Poesy /

He so interweaves Truth with probable Fiction, that he puts a pleasing Fallacy upon us, mends the intrigues of Fate, and dispenses with the severity of History, to reward the Virtue which has been render'd to us there unfortunate. Sometimes the Story has left the Success so doubtful, that the Writer is free, by the privilege of a Poet, to take that which of two or more Relations will best suit with his Design: As for Example, In the death of Cyrus, whom Justin and some others report to have perish'd in the Scythian War, but Xenophon affirms to have died in his Bed of extream old Age. Nay more, when the Event is past dispute, even then we are willing to be deceiv'd, and the Poet, if he contrives it with appearance of Truth, has all the Audience of his Party; at least during the time his Play is acting: So naturally we are kind to Virtue, when our own Interest is not in Question, that we take it up as the general Concernment of Mankind. On the other side, if you consider the Historical Plays of Shakespear, they are rather so many Chronicles of Kings, or the Business many times of thirty or forty Years, crampt into a Representation of two Hours aad a half, which is not to imitate or paint Nature, but rather to draw her in miniature, to take AnEssayof Dramatick Poesy. her in little; to look upon her through the wrong End of a Perspective, and receive her Images not only much less, but infinitely more imperfect than the Life: This, instead of making a Play delightful, renders it ridiculous.


2 - Von Johann Dryden und dessen dramatischen Werken /

Er weis die Wahrheit mit der wahrscheinlichen Erdichtung so zu verweben, daß er uns auf die angenehmste Weise hintergehet; er lindert die strengen Schlüsse des Schicksals und verläßt in dramatischen Werken. etwas die Genauigkeit der Geschichte, um die Tugend zu belohnen, die uns jene als unglücklich vorgestellet hat. Manchmal hat auch die Geschichte den Ausgang so zweifelhaft gelassen, daß der Scribent, nach der dem Dichtern zukommendenFreyheit, sich auf eine Seite lenken kann, auf welche es ihm beliebt; so ist es zum Exempel mit dem Tode des Cyrus, von dem Justinus und einige andere melden, daß er in dem Scythischen Kriege umgekommen, da Xenophon doch von ihm behauptet, daß er in einem hohen Alter auf seinem Bette gestorben sey. Ja auch alsdenn noch, wenn der Ausgang schon außer allem Streite ist, lassen wir uns nicht ungern betriegen, und der Dichter hat sicherlich, wenigstens so lange, als die Vorstellung dauert, und wenn er nur die Wahrscheinlichkeit beobachtet hat, alle Zuhörer auf seine Seite; denn wo unser eigen Jnteresse nur nicht mit im Spiele ist, lieben wir die Tugend von Natur so sehr, daß wir sie als die allgemeine Sache der Menschheit betrachten. Erwägen wir aber auf der andern Seite die historischen Schauspiele desShakespear, so finden wir, daß sie so manche Chroniken von Königen sind, wo die Begebenheiten oft von dreyßig bis vierzig Jahren, in eine Vorstellung von zwey und einer halben Stunde zusammen gepreßt sind, welches aber nicht sowohl die Natur nachahmen und schildern, als vielmehr verkleinern und in Miniatur brin Von Johann Dryden u. dessengen heißt. Man betrachtet sie gleichsam durch das verkehrte Ende des Perspectivs, da ihreBilder denn nicht bloß unendlich kleiner, sondern auch unendlich unvollkommener, als sie wirklich sind, erscheinen; und dieses macht einSchauspiel unstreitig mehr lächerlich als angenehm.


3 - /

perception, may as well assert that the plea sures of geometry, or perspective, are sensual, because 'tis by the senses we receive the ideas of figure.

4 - /

sowohl behaupten müssen, daß das Vergnügen der Geometrie oder Perspectiv, sinnlich wären, weil wir durch die Sinne den Be grif von Figur empfan gen.


5 - Lettres sur la danse /

SI les grandes passions conviennent à la Tragédie, elles ne sont pas moins nécessaires au genre Pantomime. Notre Art est assujetti en quelque façon aux regles de la perspective; les petits dé- tails se perdent dans l'éloignement. Il faut dans les Tableaux de la Danse des traits marqués, de grandes parties, des caracteres vigoureux, des masses hardies, des oppositions & des contrastes aussi frappants qu'artistement ménagés.


6 - Lettres sur la danse /

Dans un Spectacle aussi riche en ressources que celui de notre Opéra, n'est- il pas choquant & ridicule de ne point trouver de dégradations dans les tailles, lorsqu'on s'y attache & qu'on s'en occupe dans les morceaux de Peinture qui ne sont qu'accessoires au Tableau? Jupiter par exemple, au haut de l'Olympe, ou Apollon au sommet du Parnasse, ne Lettres devroient-ils pas paroître plus petits à raison de l'éloignement que les Divinités & les Muses qui étant au-dessous d'eux sont plus rapprochés du Spectateur. Si pour faire illusion, le Peintre se soumet aux regles de la perspective, d'où vient que le Maître de Ballets qui est Peintre lui-même, ou qui devroit l'être, en secoue le joug? Comment les Tableaux plairont-ils, s'ils ne sont vraisemblables, s'ils sont sans proportion, & s'ils péchent contre les regles que l'Art a puisé dans la nature par la comparaison des objets? C'est dans les Tableaux fixes & tranquilles de la Danse que la dégradation doit avoir lieu; elle est moins importante dans ceux qui varient & qui se forment en dansant. J'entends par Tableau fixe tout ce qui fait grouppe dans Sur la Danse. l'éloignement; tout ce qui est dépendant de la décoration, & qui d'accord avec elle, forme une grande machine bien entendue.


7 - Lettres sur la danse /

Le Machiniste est chargé du soin de présenter les Tableaux du Peintre dans Lettres le point de perspective & dans les diffé- rents jours qui leur conviennent; son premier soin est de ranger les morceaux de décorations avec tant de justesse, qu'ils n'en forment qu'un seul bien entendu & bien d'accord; son talent consiste à les présenter avec vîtesse, & à les dérober avec promptitude. S'il n'a pas l'Art de distribuer les lumieres à propos, il affoiblit l'ouvrage du Peintre & il renverse l'effet de la décoration. Telle partie du Tableau qui doit être éclairée devient noire & obscure; telle autre qui demande à être privée de lumiere se trouve claire & brillante. Ce n'est pas la grande quantité de lampions jetés au hazard, ou arrangés symmétriquement qui éclaire bien unThéatre & qui fait valoir la Scene; le talent consiste à savoir distribuer les Sur la Danse. lumieres par parties ou par masses iné- gales, afin de forcer les endroits qui demandent un grand jour, de ménager ceux qui en exigent peu, & de négliger les parties qui en sont moins susceptibles. Le Peintre étant obligé de mettre des nuances & des dégradations dans ces Tableaux pour que la perspective s'y rencontre, celui qui doit l'éclairer devroit, ce me semble, le consulter, afin d'observer les mêmes nuances & les mêmes dégradations dans les lumieres. Rien ne seroit si mauvais qu'une décoration peinte dans le même ton de couleur & dans les mêmes nuances; il n'y auroit ni lointain ni perspective; de même, si les morceaux de Peinture divisés pour former un tout sont éclairés avec la même force, il n'y aura plus d'entente, plus de masse,Lettres plus d'opposition, & le Tableau sera sans effet.


8 - Lettres sur la danse /

Le Machiniste est chargé du soin de présenter les Tableaux du Peintre dans Lettres le point de perspective & dans les diffé- rents jours qui leur conviennent; son premier soin est de ranger les morceaux de décorations avec tant de justesse, qu'ils n'en forment qu'un seul bien entendu & bien d'accord; son talent consiste à les présenter avec vîtesse, & à les dérober avec promptitude. S'il n'a pas l'Art de distribuer les lumieres à propos, il affoiblit l'ouvrage du Peintre & il renverse l'effet de la décoration. Telle partie du Tableau qui doit être éclairée devient noire & obscure; telle autre qui demande à être privée de lumiere se trouve claire & brillante. Ce n'est pas la grande quantité de lampions jetés au hazard, ou arrangés symmétriquement qui éclaire bien unThéatre & qui fait valoir la Scene; le talent consiste à savoir distribuer les Sur la Danse. lumieres par parties ou par masses iné- gales, afin de forcer les endroits qui demandent un grand jour, de ménager ceux qui en exigent peu, & de négliger les parties qui en sont moins susceptibles. Le Peintre étant obligé de mettre des nuances & des dégradations dans ces Tableaux pour que la perspective s'y rencontre, celui qui doit l'éclairer devroit, ce me semble, le consulter, afin d'observer les mêmes nuances & les mêmes dégradations dans les lumieres. Rien ne seroit si mauvais qu'une décoration peinte dans le même ton de couleur & dans les mêmes nuances; il n'y auroit ni lointain ni perspective; de même, si les morceaux de Peinture divisés pour former un tout sont éclairés avec la même force, il n'y aura plus d'entente, plus de masse,Lettres plus d'opposition, & le Tableau sera sans effet.


9 - Lettres sur la danse /

Il est aussi difficile, Monsieur, de démêler l'origine des masques, que de se former une idée juste des Spectacles & de la Danse des anciens. Cet Art, ainsi que quantité de choses précieuses, ont été, pour ainsi dire, enterrées dans Sur la Danse. les ruines de l'antiquité. Il ne nous reste de tant de beautés que de foibles esquisses auxquelles chaque Auteur prête des traits & des couleurs différentes; chacun d'eux leur donne le caractere qui flatte son goût & son génie. Les contradictions continuelles qui régnent dans ces ouvrages, loin de nous éclairer, nous replongent dans notre premiere obscurité. L'antiquité à certains égards est un cahos qu'il nous est impossible de débrouiller; c'est un monde dont l'immensité nous est inconnue; chacun prétend y voyager sans s'égarer & sans se perdre. Cette multitude de choses qui se présentent à nous dans l'éloignement le plus considérable, est l'image d'une perspective trop étendue; l'œil s'y perd & ne distingue qu'imparfaitement; mais l'imagination vient au Lettres secours, elle supplée à la distance & à la foiblesse des regards; l'enthousia sme rapproche les objets; il en crée de nouveaux; il s'en fait des monstres; tout lui paroît grand, tout enfin lui semble gigantesque. L'on pourroit appliquer ici ces Vers de Moliére dans les Femmes savantes....


10 - Discours historique sur l'apocalypse /

Kaum können heftige Leidenschaften der Tragödie nothwendiger seyn, als sie der Pantomime sind. Unsere Kunst ist gewissermaaßen der Perspektiv unterworfen; das Kleine verliert sich in der Entfernung. Die Gemählde des Tanzes erfordern Züge, die sich ausnehmen, große kühne Massen, kräftige Charaktere, und Gegenstellungen und Kontraste, die eben so künstlich ausgesparet, als in die Augen fallend seyn müssen.


11 - Discours historique sur l'apocalypse /

Ist es in einem so prächtigen und an Erfindung so reichen Schauspiele, als unsere Oper ist, nicht äusserst anstößig und lächerlich, wenn man gar keinen Abfall der Taillen bemerkt: da ihn gleichwohl der Mahler auf den Maschinen beobachtet hat, die doch lange nicht das wesentlichste Stück des ganzen Theatergemähldes sind. Sollte z. E. Jupiter in den Wolken des Olymps, oder Apollo auf der Spitze des Parnasses, nicht eben so viel kleiner scheinen, als näher die übrigen Gottheiten und Musen, die unter ihnen stehen, sich den Zuschauern befinden? Wenn sich der Mahler, der Täuschung wegen, den Regeln der Perspektiv unterwirft, wie kömmt es, daß der Balletmeister, der doch auch eine Art von Mahler ist, wenigstens seyn sollte, ihnen den Gehorsam verweigern darf? Wie kann ein Gemählde gefallen, das nicht wahrscheinlich ist, dem es an den gehörigen Verhältnissen fehlt, das wieder die Regeln sündiget, welche dieKunst, durch Vergleichung der Gegenstände, aus derNatur selbst geschöpft hat? Die ruhigen unbeweglichen Gemählde des Tanzes sind es, wo die Degradation der Taillen am nöthigsten ist; in den veränderlichen, die sich im Tanzen selbst erzeugen, ist sie so wichtig nicht. Ich verstehe unter einem unbeweglichen Gemählde alles, was in der Entfernung eine Gruppe macht; alles, was von der Decoration abhangt, und mit dieser gemeinschaftlich eine grosse und schickliche Maschine formiret.


12 - Discours historique sur l'apocalypse /

Der Maschienenmeister hat das Amt, dieGemählde des Mahlers in ihrem gehörigen Punkt der Perspective und in das verschiedene Licht zu bringen, das sie erfodern; seine vornehmste Pflicht ist, die verschiedenen Stücke der Decoration mit so vieler Richtigkeit anzuordnen, daß aus allen ein vernünftiges und zusammenhängendes Ganze wird; seine Geschicklichkeit besteht darinn, daß er sie schnell hervor und wieder weg bringt. Versteht er die Kunst nicht, die Erleuchtung gehörig zu vertheilen, so schwächt er das Werk des Mahlers und wirft die Wirkung der Decoration übern Haufen. Eine Parthie des Gemähldes, welche Lichtvoll seyn sollte, wird schwarz und dunkel; eine andere, welche ohne Licht zu seyn verlangt, steht da hell und schimmernd. Mit einer großen Menge Lampen allein ist es nicht ausgerichtet, wenn man ein Theatergehörig und vortheilhaft erleuchten will, man mag sie nun aufs Gerathewohl oder nach der Symetrie anbringen; die Kunst steckt darinn, daß man das Licht nach ungleichen Theilen oder Massen zu vertheilen wisse, um die Stellen, welche ein starkes Licht erfodern, hervor zu zwingen, die zu schonen, welche weniger verlangen, und die zu vernachläßigen, welche noch weniger annehmen können. Der Mahler muß, der Perspective wegen, Nüancen und Farbenschwächung in diesen Gemählden anbringen; derjenige also, der es erleuchten soll, dünkt mich, sollte ihn zu Rath ziehen, um die nehmlichen Nüancen und Schwächungen in den Lichtern zu beobachten. Nichts wäre so schlecht als eine, in einemTone der Farbe und in einerley Nüancen gemahlte Decoration; sie hätte weder Entfernung noch Perspectiv; eben so, wenn die gemahlten Stücke, welche nach ihrer Vertheilung ein Ganzes machen sollen, mit gleicher Stärke erleuchtet werden, gehen Anordnung, Masse und Gegenprallung verlohren, und das Gemählde bleibt ohne Wirkung.


13 - Discours historique sur l'apocalypse /

Der Maschienenmeister hat das Amt, dieGemählde des Mahlers in ihrem gehörigen Punkt der Perspective und in das verschiedene Licht zu bringen, das sie erfodern; seine vornehmste Pflicht ist, die verschiedenen Stücke der Decoration mit so vieler Richtigkeit anzuordnen, daß aus allen ein vernünftiges und zusammenhängendes Ganze wird; seine Geschicklichkeit besteht darinn, daß er sie schnell hervor und wieder weg bringt. Versteht er die Kunst nicht, die Erleuchtung gehörig zu vertheilen, so schwächt er das Werk des Mahlers und wirft die Wirkung der Decoration übern Haufen. Eine Parthie des Gemähldes, welche Lichtvoll seyn sollte, wird schwarz und dunkel; eine andere, welche ohne Licht zu seyn verlangt, steht da hell und schimmernd. Mit einer großen Menge Lampen allein ist es nicht ausgerichtet, wenn man ein Theatergehörig und vortheilhaft erleuchten will, man mag sie nun aufs Gerathewohl oder nach der Symetrie anbringen; die Kunst steckt darinn, daß man das Licht nach ungleichen Theilen oder Massen zu vertheilen wisse, um die Stellen, welche ein starkes Licht erfodern, hervor zu zwingen, die zu schonen, welche weniger verlangen, und die zu vernachläßigen, welche noch weniger annehmen können. Der Mahler muß, der Perspective wegen, Nüancen und Farbenschwächung in diesen Gemählden anbringen; derjenige also, der es erleuchten soll, dünkt mich, sollte ihn zu Rath ziehen, um die nehmlichen Nüancen und Schwächungen in den Lichtern zu beobachten. Nichts wäre so schlecht als eine, in einemTone der Farbe und in einerley Nüancen gemahlte Decoration; sie hätte weder Entfernung noch Perspectiv; eben so, wenn die gemahlten Stücke, welche nach ihrer Vertheilung ein Ganzes machen sollen, mit gleicher Stärke erleuchtet werden, gehen Anordnung, Masse und Gegenprallung verlohren, und das Gemählde bleibt ohne Wirkung.


14 - Discours historique sur l'apocalypse /

Die Antiquität ist in gewissen Betrachtungen ein Cahos, das wir unmöglich entwickeln können; es ist eine Welt von unbekanntem Umfange; ein jeder glaubt sie durchreisen zu können, ohne sich zu verirren oder zu verlieren. Diese mancherley Dinge, welche wir in der größesten Entfernung erblicken, sind gleich einer zu weit gedehnten Perspektive; das Auge verirrt sich und unterscheidet darinn nur sehr undeutlich; aber die Einbildungskraft überhüpft den Zwischenraum, und kömmt der Schwäche des Blickes zu Hülfe; der Enthusiasmus rückt die Gegenstände näher; schaft neu; bildet sich Mißgestallten; alles kommt ihm groß, kommt ihm gigantisch vor. Man könnte hier die Verse des Moliere aus seinen gelehrten Weibernanwenden: