Suchbegriff: bewu
Treffer: 136

1 - Reflexions sur comique-lamoryant /

Telles ſont, Meſſieurs, les maximes dangereuſes contre leſ quelles j'oſe m'élever; car remar quez, je vous prie, que, péné tré de la plus ſincere admiration pour le génie des Auteurs, je n'at taque jamais que le goût de leurs ouvrages, ou plutôt celui du Comique- plaintif pris en général. Je me ſuis toûjours réſervé la liberté de donner avec vous mille loüanges aux Poëtes charmans, qui, par des beautés de détail très-réelles, par la découverte de pluſieurs portraits & de pluſieurs caracteres vrais & ſaillans, & par la nouveau té impoſante de leur coloris, ont ſu nous dérober quelquefois ce que le fond de leurs fables pouvoit a voir de frivole ou de défectueux. Le gé nie d'un Auteur perce toûjours, & peut lui attirer de juſtes éloges mal- gré les défauts de ſon ouvrage: mais les défauts de l'ouvrage percent auſſi, & peuvent être légitimement repris, malgré tous les preſtiges du génie de l'ouvrier.


2 - Reflexions sur comique-lamoryant /

Quel profit les mœurs ont-elles retiré de l'étalage facile & ambitieux des beaux, des grands ſentimens? & ces brillantes moralités, ſi fort à la mode, qu'ont - elles opéré ſur nos cœurs & ſur nos eſprits? Une admi- ration ſtérile, un ébloüiſſement mo- mentané, une émotion paſſagere & incapable de produire aucuns re- tours ſur nous-mêmes. Tant de ma- ximes ſi finement préparées, tant de préceptes ſi élégamment étalés, tombent en pure perte pour les Specta- teurs. On admire Mélanide, & on la plaint: mais ſon ton continue- ment douloureux, & le récit de ſes déſaſtresromaneſques ne nous font pas d'impreſſion utile, parce qu'ils n'en font aucune relative à la poſi tion où nous ſommes. Le ſort de la Gouvernante nous attendrit & nous touche; mais ſa ſituation, toute ſin- guliere (a), n'a rien de commun avec la nôtre. Nous ne trouvons en nous-mêmes aucuns modeles de

(a) Le ſujet de la Comédie doit être pris entre les événemens ordinaires; & ſes perſonnages doi vent reſſembler par toutes ſortes d'endroits au peuple pour qui on la compoſe. Elle n'a pas be ſoin d'élever ces perſonnages ſur des piédeſtaux, puiſque ſon but principal n'eſt pas de les faire admirer pour les faire plaindre plus facilement; elle veut tout au plus nous donner pour eux quelque inquiétude, cauſee par les contretems fàcheux qui leur arrivent, &c. Dubos, Réfl. crit. tom. 2. p. 255.

comparaiſons avec des aventures, qui, n'étant placées que dans l'or dre des choſes poſſibles, ne ſemblent pas faites pour nous: on eſt ſaiſi, pénétré, émû, s'il faut l'avoüer, à la vûe de tableaux ſi ingénieux: mais on ne reſſent ni remors, nihon- te, ni crainte pour ſoi-même dans le tiſſu d'événemens que le cours or dinaire des révolutions humaines ne doit jamais amener juſqu'à nous.


3 - Reflexions sur comique-lamoryant /

(a) Le ſujet de la Comédie doit être pris entre les événemens ordinaires; & ſes perſonnages doi vent reſſembler par toutes ſortes d'endroits au peuple pour qui on la compoſe. Elle n'a pas be ſoin d'élever ces perſonnages ſur des piédeſtaux, puiſque ſon but principal n'eſt pas de les faire admirer pour les faire plaindre plus facilement; elle veut tout au plus nous donner pour eux quelque inquiétude, cauſee par les contretems fàcheux qui leur arrivent, &c. Dubos, Réfl. crit. tom. 2. p. 255.


4 - Reflexions sur comique-lamoryant /

Mais ce n'eſt pas, ſi je l'oſe dire, la diminution & l'affoibliſſement de nos plaiſirs où l'inutilité d'une morale grave & triſtement ſententieu ſe, qu'on peut le plus légitimement reprocher au nouveau comique; ſon défaut principal eſt d'ôter les bornes qui ont toûjours ſéparéle Co- thurne du Brodequin (a), & de nous rappeller ainſi à l'eſpece monſtrueu- ſe du Tragi-comique, ſi juſtement proſcrite après pluſieurs années d'un triomphe impoſteur. Je ſais bien que le nouveau genre n'a point de traits auſſi biſarres; que la diſproportion des perſonnages n'eſt point auſſi révoltante, & que les Valetsn'y jouent pas avec les Princes: mais le fond en eſt également défectueux, quoi- que ce ſoit par des vices différens.

(a) Il ſemble qu'en France, depuis ſoixante ans, on ait oublié le ſecret de la bonne Comédie. On a perdu juſqu'a la trace de Moliere. On ne ſait plus établir & garder les différences qui ſé- parent la Comédie du genre tragique. Les deux ſtyles ſont maintenant confondus ſur notre Théa tre. Melpomene abandonne à Thalie ſa nobleſſe & ſa dignité. Donnez aux Acteurs des noms plus relevés; & de la plûpart de nos Comédies, vous ferez de vraies Tragédies, ou ce ſeront, ſi l'on veut, des Tragédies Bourgeoiſes, &c. Mémoires de Trévoux, Juillet 1748.

En effet, ſi le premier dégradoit des perſonnages héroïques, en ne leur donnant que des paſſions ſubal ternes, & s'il ne nous préſentoit que des tableaux de ces vertus commu nes, qui ne ſont point aſſez élevées pour l'Héroïſme de la Tragédie; le ſecond éleve des perſonnages communs à ce genre de ſentimens qui produit l'admiration, & les peint ſous les traits de cette pitié char mante qui fait l'appanage diſtinctif du Tragique. Ainſi le génie de l'une & de l'autre Scene paroiſſant égale ment oppoſé à l'eſſence convenue du Poëme comique, elles méritent une égale cenſure, & peut-être une égale proſcription.


5 - Reflexions sur comique-lamoryant /

C'est donc moins l'épuiſement des caracteres & des ridicules, le de ſir d'être plus utile, ou l'idée d'un plaiſir plus parfait, qui ont produit le genre du Comique-Larmoyant, que la difficulté de ſe monter ſur le ton de Moliere (a), ou plutôt l'envie de ſurprendre notre admiration par les charmes brillans de la nouveau

(a) Le P. Brumoi, comparant le Tragique avec le Comique, s'exprime ainſi:

L'un veut toucher, l'autre réjoüir; & lequel des deux eſt le plus aiſé? A bien pénétrer ces deux fins; toucher, c'eſt frapper les reſſorts du cœur qui ſont les plus naturels, la crainte & la pitié; réjoüir, c'eſt porter à rire, choſe très-na turelle à la vérité, mais plus délicate. . . . On admire plus volontiers que l'on ne rit, &c.

té: cette maladie ſi perſonnelle au génie François, enfante les modes littéraires, & porte ſans ceſſe ſes bi ſarreries dans tous les genres d'écri re, comme dans toutes les conditions. Notre curioſité veut tout par- courir: notre vanité veut tout tenter; & lors même que nous cédons à la raiſon, nous paroiſſons moins en ſuivre l'attrait, que notre hu meur & notre caprice.


6 - Betrachtungen über das weinerlich Komische /

Von dieser Art sind die gefährlichen Maximen, gegen die ich mich zu setzen wage; denn man merke wohl, daß ich von einer aufrichtigen Bewunderung des Genies der Verfasser durchdrungen bin, und niemals etwas anders als den Geschmack ihrer Werke, oder vielmehrdas weinerlich Komische überhaupt genommen, angreiffe. Jch habe mir beständig die Freyheit vorbehalten, den liebenswürdigen Dichtern tausend Lobsprüche zu ertheilen, die uns durch sehr wirkliche Schönheiten der Ausführung, durch die Entdeckung verschiedner wahren und sich ausnehmenden Schilderungen und Charaktere, durch die blendende Neuigkeit ihrer Farbenmischung, oft dasjenige zu verbergen wußten, was an dem Wesentlichen ihrerFabel etwa nichtig oder fehlerhaft seyn konnte. Das Genie des Verfassers strahlet allezeit durch, und kann ihm, ohngeachtet der Fehler seines Werks, ein gerechtes Lob erwerben: allein die Fehler seines Werks strahlen gleichfalls durch, und können, Troz den Bezaubrungen, die das Genie des Werkmeisters angebracht hat, mit Grund getadelt werden.


7 - Betrachtungen über das weinerlich Komische /

Was hat denn nun jene leichte und hochmüthige Auskrahmung schöner und grosser Gesinnungen den Sitten genützt? Was für Wirkungen hat denn jene glänzende Moral auf unsre Herzen und auf unsern Verstand gehabt? Eine unfruchtbare Bewunderung, eine Blendung auf wenige Augenblicke, eine überhingehendeBewegung, welche ganz unfähig ist, uns in uns selbst gehen zu lassen. So viele auf das allerfeinste vorbereitete Sittensprüche, so viel zierlich ausgekrahmte Vorschriften sind für die Zuschauer völlig in Wind gesagt. Man bewundert Melaniden, und betauert sie: allein ihr unaufhörlich kläglicher Ton, und die Erzehlung ihrer romanhaftenZufälle, machen auf uns

*Lettre ſur Melanide.

weinerlich Komische keinen nützlichen Eindruck, weil sie mit der Stellung, worinne wir uns befinden, ganz und gar keine Gemeinschaft haben. Das Schicksal derAufseherin bewegt und rühret uns, allein ihre ganz besondern Umstände haben mit den unsrigen gar nichts gemein. (1) Wir treffen in uns selbst nichts an, was wir mit den Abentheuern in Vergleichung bringen können, die blos unter die möglichen Dinge gehören, und also gar nicht für uns gemacht zu seyn scheinen. Man wird, wenn man es ja gestehen muß, bey dem Anblicke so sinnreicher Gemählde, ergriffen, durchdrungen, bewegt; allein man fühlet für uns selbst, in diesem Zusammenflusse von Begebenheiten, mit welchen der ordentliche Lauf menschlicher Dinge uns gewiß verschonen wird, weder Reue, noch Scham, noch Furcht.


8 - Betrachtungen über das weinerlich Komische /

(1) Der Stoff einer Komödie muß aus den gewöhn lichen Begebenheiten genommen seyn; und ihre Personen müssen, von allen Seiten, mit dem Vol ke, für das sie gemacht wird, eine Aehnlichkeit ha ben. Sie hat nicht nöthig, diese ihre Personen auf ein Fußgestelle zu erhöhen, weil ihr vornehm ster Entzweck eben nicht ist, Bewundrung für sie zu erwecken, damit man sie desto leichter beklagen könne; sie will aufs höchste, durch die verdrußli chen Zufälle, die ihnen begegnen, uns für sie ein wenig unruhig machen. Dubos kritische Be trachtungen Th. II. S. 225.


9 - Betrachtungen über das weinerlich Komische /

Doch die Verringerung und Swächung<Schwächung> unseres Vergnügens, oder die Unnützlichkeit einer ernsthaften und traurig spruchreichen Moral, ist Betrachtungen über das der gegründeste Vorwurf noch nicht, den man der neuen Art von Komödien machen kann: ihr vornehmster Fehler ist dieser, daß sie die Grenzen gar aufhebt, welche von je her das Tragische von dem Komischen getrennt haben, und uns jene ungeheure Gattung des Tragikomischen zurück bringet, welche man mit so vielem Grunde, nach verschiednen Jahren eines betrieglichen Triumphs, verworffen hat. Jch weis wohl, die neue Art hat bey weitem nicht so viele und grosse Ungereimtheiten; die Verschiedenheit ihrer Personen ist nicht so anstößig, und die Bedienten dürfen darinne nicht mit Prinzen zusammen spielen: allein im Grunde ist sie doch eben so fehlerhaft, ob schon auf eine veschiedne Weise. Denn wie die erstre Art die heroischen Personen erniedrigte, indem sie ihnen bloß gemeine Leidenschaften gab, und nur die gewöhnlichen Tugenden aufführte, die zu dem heldenmäßigen derTragödie lange nicht erhaben genug sind; eben so erhöhnt die andre die gemeinen Personen zu Gesinnungen, welche Bewunderung erwecken, und mahlt sie mit Zügen jenes reitzenden Mitleids, welches das unterscheidende Eigenthum des Trauerspiels ausmachet. Beyde sind also dem Wesen, welches man dem komischen Gedichte zugestanden hat, gleich sehr zuwider; beyde verdienen also einen gleichen Tadel, und vielleicht auch eine gleiche Verbannung.


10 - Betrachtungen über das weinerlich Komische /

Es ist also nicht sowohl die Erschöpfung derCharaktere und des Lächerlichen, noch die Begierde nützlicher zu seyn, noch die Vorstellung eines grössern Vergnügens, welche uns die Gattung des weinerlich Komischen verschaft hat, sondern vielmehr die Schwierigkeit, den Ton desMoliere zu erreichen, oder vielmehr die Begierde unsre Bewunderung durch die glänzenden Reitze der Neuigkeit zu überraschen. Diese Krankheit, welche dem Französischen Genie so eigen ist, erzeugt die Moden in der Litteratur, und stekt mit ihren Sonderlichkeiten sowohl alle Schreibarten, als alle Stände an. Unsre Neugierde will alles durchlaufen; unsre Eitelkeit will alles versuchen; und auch alsdenn, wenn wir der Vernuft nachgeben, scheinen wir nicht sowohl ihrem Reitze, als unserm Eigensinn gefolgt zu seyn.


11 - Le Pere de Famille /

Mon pere, vous saurez tout. Hélas, je n'ai que ce moyen pour vous fléchir?... La premiere fois que je la vis, ce fut à l'Eglise. Elle étoit à genou, aux pieds des autels, auprès d'une femme âgée que je pris d'abord pour sa mere. Elle attachoit tous les regards... Ah, mon pere, quelle modestie! quels charmes!.. Non, je ne puis vous rendre l'impression qu'elle fit sur moi. Quel trouble j'éprouvai! Avec quelle violence mon cœur palpita! Ce que je ressentis! Ce que je devins!... Depuis cet instant je ne pensai, je ne rêvai qu'elle. Son image me suivit le jour, m'obséda la nuit, m'agita par-tout. J'en perdis la gaieté, la santé, le repos. Je ne pus vivre sans chercher à la retrouver. J'allois par-tout où j'espérois de la revoir. Je languissois, je périssois, vous le savez; lorsque je découvris que cette femme âgée qui l'accompagnoit, se nommoit Madame Hébert, que Sophie l'appelloit sa bonne; & que releguées toutes deux à un quatrieme étage, elles y vivoient d'une vie misérable.... Vous avouerai-je les espérances que je conçus alors, les offres que je fis, tous les projets que je formai? Que j'eus lieu d'en rougir, lorsque le Ciel m'eut inspiré de m'établir à côté d'elle!... Ah, mon pere, il faut que tout ce qui l'approche, devienne honnête ou s'en éloigne... Vous ignorez ce que je dois à Sophie, vous l'ignorez.... Elle m'a changé. Je ne suis plus ce que j'étois... Dès les premiers instans, je sentis les desirs honteux s'éteindre dans mon ame, le respect & l'admiration leur succéder. Sans qu'elle m'eût ar rêté, contenu, peut-être même avant qu'elle eût levé les yeux sur moi, je devins timide; de jour en jour je le devins davantage, & bientôt il ne me fut pas plus libre d'attenter à sa vertu qu'à sa vie.


12 - Der Hausvater /

Sie sollen alles erfahren, mein Vater. Denn ach, ich habe nur dieses einzige Mittel, Sie zu bewegen! — Ich sahe sie zum erstenmale in der Kirche. Sie kniete an dem Fusse eines Altars, neben einer betagten Frau, die ich Anfangs für ihre Mut- ter hielt. Sie zog aller Blicke auf sich. — Ah, mein Vater, welche Bescheidenheit! Welche Reitze! — Nein, ich kann Ihnen den Eindruck nicht beschreiben, den sie auf mich machte! Welche Unruhe ich empfand! Wie heftig mein Herz schlug! Was ich alles fühlte! Was auf einmal aus mir ward! — Seit diesem Augenblicke dachte ich nur an sie, träumte ich nur von ihr. Ihr Bild folgte mir des Tages, belagerte mich des Nachts, und ließ mir nirgends Ruhe. Ich verlor meine Munterkeit, meine Gesundheit darüber. Ich konnte nicht leben, ohne sie wieder aufzusuchen. Ich begab mich überall hin, wo ich sie ansichtig zu werden hoffen konnte. Ich ward schwach; ich verfiel; Sie wissen selbst, wie sehr. Endlich entdeckte ich, daß die betagte Frau, die sie begleitet hatte, Frau Hebert heisse; daß Sophia sie Meine liebe nenne, und daß sie beide in einem vierten Stocke wohnten, wo sie ein sehr armseliges Leben führten. — Darf ich Ihnen gestehen, was für Hofnung ich mir damals machte, was für Anträge ich thun ließ, auf was für Anschläge ich alles fiel. Wie viel Ursache fand ich, darüber zu erröthen, als mir der Himmel eingab, mich neben ihr einzumiethen! — Ah, mein Vater, alles was sich ihr nahet, muß rechtschaffen werden, oder sich entfernen. — Sie wissen nicht, wie viel ich Sophien zu danken habe; Sie wissen es nicht. — Sie hat mich ganz verändert. Ich bin der nicht mehr, der ich war. — Von dem ersten Augenblicke an, fühlte ich alle schändliche Begierden in meiner Seele verlöschen, und Hochachtung und Bewunderung an ihre Stelle treten. Ohne mich abgewiesen, ohne mich zurückgehalten zu haben, vielleicht gar ohne noch ein Auge auf mich gerichtet zu haben, machte sie mich furchtsam; ich ward es von Tag zu Tag immer mehr; und nicht lange, so war es mir eben so unmöglich nach ihrer Tugend, als nach ihrem Leben zu stehen.


13 - Fils naturelle /

Mon fils, que te veulent-ils? Il faut que tu leur aies donné quelque grand sujet d'admiration & de joie, que je ne comprends pas, que ton pere ne peut partager.


14 - Der natürliche Sohn /

Was wollen sie von dir, mein Sohn? Du mußt ihnen irgend einen großen Anlaß zur Bewunderung und Freude gegeben haben, wovon ich nichts begreiffe, und woran dein Vater nicht Theil nehmen kann.


15 - An Essay on Dramatick Poesy /

But if we will allow the Ancients to have contriv'd well, we must acknowledge them to have written better. Questionless we are deprived of a great Stock of Wit in the loss of Menander amongst the Greek Poets, and of Cæcilius, Afranius, and Varius among the Romans. We may guess at Menander's Excellency, by the Plays of Terence, who translated some of them; And yet wanted so much of him, that he was called by C. Cæsar the Half-Menander; and may judge of Varius, by the Testimonies of Horace, Martial, and Velleius Paterculus: 'Tis AnEssayof Dramatick Poesy. probablc that these, could they be recover'd, would decide the Controversy; but so long as Aristophanes and Plautus are extant; while the Tragedies of Euripides, Sophocles, and Seneca are in our Hands, I can never see one of those Plays which are now written, but it encreases my Admiration of the Ancients; and yet I must acknowledge further, that to admire them as we ought, we should understand them better than we do. Doubtless many things appear flat to us, the Wit of which depended on some Custom or Story which never came to our Knowledge; or perhaps on some Criticism in their Language, which being so long dead, and only remaining in their Books, 'tis not possible they shou'd make us understand perfectly. To read Macrobius, explaining the Propriety and Elegancy of many Words in Virgil, which I had before pass'd over without consideration, as common things, is enough to assure me that I ought to think the same of Terence; and that in the Purity of his Style (which Tully so much valued, that he ever carried his Works about him) there is yet left in him great room for Admiration, if I knew but where to place it. In the mean time, I must desire you to take notice, that the greatest Man of the last Age (Ben. Johnson) was willing to give place to them in all things: He was not only a profess'd Imitator of Horace, but a learned Plagiary of all the others; you track him every where in their Snow. If Horace, Lucan, Petronius Arbiter, Seneca, and Juvenal, had their own from him, there are few serious Thoughts which are new in him; you will pardon me therefore, if I presume he lov'd their Fashion when he wore their Cloaths. But since I have otherwise a great veneration for him, and you, Eugenius; prefer him above all other Poets, I will use no further Arguments to you than his Example: I will produce before you Father Ben. dress'd in all the Ornaments and Colours of the Ancients, you will need no other Guide to our Party, if you follow him; and whether you consider the bad Plays of our Age, or regard the good Plays of the last, both the AnEssayof Dramatick Poesy. best and worst of the modern Poets, will equally instruct you to admire the Ancients.