Suchbegriff: valerius_f
Treffer: 2

1 - /

Lorsqu'ils furent près d'arriver, M. Valerius Falton, l'un des Députés, prit les devans pour annoncer dans la ville l'arrivée prochaine de la Déesse, & avertir qu'on cherchât le plus digne de recevoir la Déesse, comme l'Oracle de Delphes l'avoit ordonné. Ce fut un grand embarras pour le sénat, de se voir obligé de décider quel étoit le plus homme de bien de la Républi- scipion et Licinius Cons. que. Il(a)n'y avoit point de citoyen, ditAn. R. 547.Av. J. C.205.Tite-Live, qui n'eût préféré sans hésiter cette victoire remportée à juste titre, à tous les commandemens & à toutes les dignités qu'on pouvoit obtenir par les suffrages du sénat ou du Peuple. Parcourez(b)tous les Fastes, dit un autre Auteur, & tous les triomphes qui y sont rapportés, & vous reconnoîtrez qu'il n'est point de gloire plus éclatante que celle de tenir le prémier rang parmi les gens de bien. Il y a donc dans la Vertu une grandeur bien réelle, puisqu'elle doit être préférée à tout ce qu'il y a de plus brillant & de plus recherché. Mais on sera bien étonné de voir que parmi tant de grands hommes d'une si haute réputation & d'un mérite si généralement reconnu qui étoient alors à Rome, une distinction si honorable tomba sur un jeune homme qui n'avoit pas encore vingt-sept ans. C'étoit Publius scipion, surnomméscipionNasica estdéclaré leplus hommede bien detoute laRépubli-que. Nasica, fils de Cneus qui étoit mort en Espagne. Il est bien fàcheux que l'Histoire ne nous apprenne point quelles qualités déterminérent le sénat à prononcer ce jugement.


2 - /

Als sie nicht mehr weit davon waren, gieng einer von den Abgeordneten, Valerius Falton voraus, um der Stadt die nahe Ankunftder Göttin kund zu thun, und Anstalt zu machen, daß man den ehrlichsten Mann aussuche, welcher, dem Befehle des Delphischen Orakels gemäß, der würdigste sey, die Göttin zu empfangen. Der Senat gerieth in keine geringe Verwirrung, da er sich gezwungen sahe zu entscheiden, welches der wackerste Mann in der Republik sey.Es war kein einzigerBürger, sagt Livius,welcher nicht ohneAnstand einen so schön erlangten Siegallen Aemtern und Ehren, zu welchenman durch die Wahl des Volks oder des Senats gelangen konnte, vorgezogen hätte. (*) Durchsucht alle Geschichts=

(*)Veram certe victoriam eius rei ſibi quisquemallet, quam vlla imperia honoresue ſuffra-gio ſeu Patrum ſeu plebis delatos.

272 P. C. Scipio, u. P. L. Crassus, Cons.d. 547. J. n. R. E. d. 205. J. v. C. G.bücher, sagt ein andrer Schriftsteller,betrachtet alle Triumphe, welche darinne erzehlt werden, ihr werdet keinen erhabnern Ruhm finden, als den Ruhm, der erste unter den ehrlichsten Leutenzu seyn.(*) Es liegt also in der Tugendeine wirkliche Grösse, weil sie allem vorzuziehen ist, was man glänzendes und ausgesuchtes hat. Man wird sich aber sehr wundern,wenn man siehet, daß unter so viel grossenMännern, deren Verdienste und Ruhm in der Scipio Nasica wird für den ehrlichsten Mann in der ganzen Republik erkläret. Stadt allgemein bekannt waren, diese so ehrenvolle Unterscheidung einem jungen Menschen zufiel, welcher damahls noch nicht 27. Jahr alt war. Es war Publius Scipio, mit dem Zunahmen Nasica, ein Sohn desCurus, welcher in Spanien geblieben war.Es ist verdrüßlich, daß uns die Geschichte dieEigenschaften nicht nennet, welche den Senat, dieses Urtheil zu fällen, bewogen.