Suchbegriff: valer
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Occasion de la prémiére Guerre Punique. Secours accordé aux Mamertins contre les Carthaginois par les Romains. Appius Consul passe en Sicile. Il remporte une victoire sur Hiéron, & entre à Messine. Il bat les Carthaginois, & aiant laissé une forte garnison à Messine, il retourne à Rome, & reçoit l'honneur du triomphe. Cloture du Dénombrement. Etablissement des combats de Gladiateurs. Vestale punie. Les deux nouveaux Consuls passent en Sicile. Traité conclu entre Hiéron & les Romains. Punition de soldats qui s'étoient rendus lâchement aux ennemis. Les Consuls retournent à Ro- me. Triomphe de Valére. Horloge. Clou attaché pour la peste. Nouvelles Colonies. Les Romains joints aux troupes de Syracuse forment le siége d'Agrigente. Il se donne une bataille, où les Carthagi

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L'hiver approchant, les Consuls, après avoir laissé des garnisons suffisantes dans les places, retournérent à Rome avec le reste des troupes. M. Valérius, qui s'étoit distingué d'une maniére particuliére dans cette campagne, reçut l'honneur du triomphe. On y porta une Horloge, ou Cadran Solaire, objet nouveau pour les Romains, qui jusques-là n'avoient distingué les heures, que comme font nos paysans à la campagne, par les différentes hauteurs du Soleil. Le Cadran étoit horisontal, & venoit de Catane. Valére le déposa depuis sur un pié-d'estal, près de la Tribune aux Harangues. Il fit placer aussi au côté de la sale Hostilia un Tableau, où étoit peint le com bat qu'il avoit donné contre Hiéron & les Carthaginois, ce qui n'avoit point encore été pratiqué, & qui le fut depuis fort communément. Il (a) eut le surnom de Messala pour avoir délivré de danger la ville de Messine, qui apparemment, depuis le départ d'Appius Claudius, avoit été attaquée

(a) Primus ex familia Valeriorum urbis Messanæ captæ in se translato nomine Messana appellatus est, paulatimque vulgo permutante literas, Messala dictus est. Senec. de Brevit. Vit. cap. 13.

M. Valer. M. Otacil. Cons. de nouveau par les Carthaginois & par HiéAn R.489.Av. J. C.263.ron. Il fut d'abord appellé Messana, puis ce nom se changea insensiblement en celui de Messala. C'est sans doute par inadDe Brevit.Vit. 13.vertance, que Senéque a dit que ce fut la prise de Messine qui lui donna ce surnom.


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L'hiver approchant, les Consuls, après avoir laissé des garnisons suffisantes dans les places, retournérent à Rome avec le reste des troupes. M. Valérius, qui s'étoit distingué d'une maniére particuliére dans cette campagne, reçut l'honneur du triomphe. On y porta une Horloge, ou Cadran Solaire, objet nouveau pour les Romains, qui jusques-là n'avoient distingué les heures, que comme font nos paysans à la campagne, par les différentes hauteurs du Soleil. Le Cadran étoit horisontal, & venoit de Catane. Valére le déposa depuis sur un pié-d'estal, près de la Tribune aux Harangues. Il fit placer aussi au côté de la sale Hostilia un Tableau, où étoit peint le com bat qu'il avoit donné contre Hiéron & les Carthaginois, ce qui n'avoit point encore été pratiqué, & qui le fut depuis fort communément. Il (a) eut le surnom de Messala pour avoir délivré de danger la ville de Messine, qui apparemment, depuis le départ d'Appius Claudius, avoit été attaquée

(a) Primus ex familia Valeriorum urbis Messanæ captæ in se translato nomine Messana appellatus est, paulatimque vulgo permutante literas, Messala dictus est. Senec. de Brevit. Vit. cap. 13.

M. Valer. M. Otacil. Cons. de nouveau par les Carthaginois & par HiéAn R.489.Av. J. C.263.ron. Il fut d'abord appellé Messana, puis ce nom se changea insensiblement en celui de Messala. C'est sans doute par inadDe Brevit.Vit. 13.vertance, que Senéque a dit que ce fut la prise de Messine qui lui donna ce surnom.


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J'ai dit que les Horloges étoient incon nues à Rome avant le Consulat de Valé re. Un ancien Auteur, selon Pline, en faiPlin. VII.60.soit remonter le prémier usage plus haut, jusqu'à la onziéme année avant la guerre de Pyrrhus: mais Pline lui-même infirme ceté moignage. Le (a) Cadran Solaire que Va lére apporta à Rome, aiant été dressé pour le climat de Catane, se trouva ne pas convenir au climat de Rome, & ne rendoit pas les heures au juste. Environ cent ans après, le Censeur Marcius Philippus en plaça un autre plus régulier tout près de celui de Valére. Dans l'intervalle ils devinrent assez communs à Rome, comme il paroit par un fragment de Plaute qu'Au lu-Gelle nous a conservé. C'est un Parasite affamé qui parle. Puissent (b) les

(a) Quod cùm ad clima Siciliæ descriptum, ad horas Romæ non conveniret, Marcius Philippus Censor aliud juxtà constituit. Censorin. de Die Natali, cap. 22.


(b) Ut illum dii perdant, primus qui horas rep
perit,
Quique adeo primus hîc statuit solarium,
Qui mihi comminuit misero articulatim diem!
Nam me puero uterus hic erat solarium,
Multo omnium istorum optumum & verissimum,
Ubi iste monebat esse, nisi cùm nihil erat.
Nunc etiam quod est, non est, nisi soli lubet.
Itaque adeo jam oppletum est oppidum solariis.
Major pars populi aridi reptant fame.
M. Valer. M. Otacil. Cons.An. R.489.Av. J. C.263.Dieux perdre celui qui le prémier a inventé, & qui le prémier a apporté à Rome cette horloge, qui pour mon malheur coupe le jour en je ne sai combien de parcelles. Autrefois la faim étoit pour moi la meilleure & la plus sure horloge. Au prémier signal qu'elle me donnoit, je pouvois prendre de la nourriture, à moins que je n'en manquasse. Mais aujourd'hui j'ai beau en avoir, c'est comme si je n'en avois point. Je ne puis manger que quand il plaît au Soleil, il faut en consulter le cours. Toute la ville est pleine d'horloges; & cette rare invention fait secher de faim la plus grande partie du peuple.


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J'ai dit que les Horloges étoient incon nues à Rome avant le Consulat de Valé re. Un ancien Auteur, selon Pline, en faiPlin. VII.60.soit remonter le prémier usage plus haut, jusqu'à la onziéme année avant la guerre de Pyrrhus: mais Pline lui-même infirme ceté moignage. Le (a) Cadran Solaire que Va lére apporta à Rome, aiant été dressé pour le climat de Catane, se trouva ne pas convenir au climat de Rome, & ne rendoit pas les heures au juste. Environ cent ans après, le Censeur Marcius Philippus en plaça un autre plus régulier tout près de celui de Valére. Dans l'intervalle ils devinrent assez communs à Rome, comme il paroit par un fragment de Plaute qu'Au lu-Gelle nous a conservé. C'est un Parasite affamé qui parle. Puissent (b) les

(a) Quod cùm ad clima Siciliæ descriptum, ad horas Romæ non conveniret, Marcius Philippus Censor aliud juxtà constituit. Censorin. de Die Natali, cap. 22.


(b) Ut illum dii perdant, primus qui horas rep
perit,
Quique adeo primus hîc statuit solarium,
Qui mihi comminuit misero articulatim diem!
Nam me puero uterus hic erat solarium,
Multo omnium istorum optumum & verissimum,
Ubi iste monebat esse, nisi cùm nihil erat.
Nunc etiam quod est, non est, nisi soli lubet.
Itaque adeo jam oppletum est oppidum solariis.
Major pars populi aridi reptant fame.
M. Valer. M. Otacil. Cons.An. R.489.Av. J. C.263.Dieux perdre celui qui le prémier a inventé, & qui le prémier a apporté à Rome cette horloge, qui pour mon malheur coupe le jour en je ne sai combien de parcelles. Autrefois la faim étoit pour moi la meilleure & la plus sure horloge. Au prémier signal qu'elle me donnoit, je pouvois prendre de la nourriture, à moins que je n'en manquasse. Mais aujourd'hui j'ai beau en avoir, c'est comme si je n'en avois point. Je ne puis manger que quand il plaît au Soleil, il faut en consulter le cours. Toute la ville est pleine d'horloges; & cette rare invention fait secher de faim la plus grande partie du peuple.


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Ces deux Iles sont si voisines, qu'on les prendroit presque pour une seule & même Ile: mais elles sont fort différentes pour

(a) C. Duilium. ... redeuntem à cœna senem sæpe videbam puer. (C'est Caton qui parle) Delectabatur cereo funali, & tibicine; quæ sibi nullo exemplo privatus sumpserat: tantum licentiæ dabat gloria.Cic. de Senect. n. 44.

L. Cornel. C. Aquil. Cons. la nature du terroir & pour le climat,An. R.493.A. J. C.259. aussi-bien que pour le génie & le caractére des habitans. La Sardaigne étoit appellée autrement Ichnusa. Elle ne le céde point pour l'étendue aux plus grandes Iles de la Méditerranée, ni pour la bonté aux plus fertiles. Valére Maxime, en (a) parlant de la Sicile & de la Sardaigne, les appelle les nouriciéres de Rome. Elle étoit riche en troupeaux, portoit beaucoup & d'excellent blé, avoit des mines en grand nombre, & même d'argent & d'or. L'air, de tout tems, en a passé pour mauvais, sur-tout en Eté. La principale ville est Caralis, aujourdhui Cagliari, qui regarde l'Afrique, & a un bon port.


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Gelegenheit des Punischen Krieges. Beystand, den dieRömer den Mamertinern wider die Carthaginenserleisten. Der Consul Appius geht nach Sicilien. Er erhält einen Sieg über den Hiero, und zieht in Meßina ein. Er schlägt die Carthaginenser, und nachdem er eine starke Besatzung zu Meßina hinterlassen,kehrt er nach Rom zurück, und genießt die Ehre desTriumphs. Summe des bürgerlichen Census. Einführung der Fechter-Kämpfe. Eine Vestalin gestraft. Die beyden neuen Consuls gehen nach Sicilien über. Vertrag zwischen dem Hiero und den Römern geschlossen. Bestrafung der Soldaten, die sichverzagter Weise an die Feinde ergeben. Die Consuls kommen wieder nach Rom. Triumph des Valerius. Sonnen-Uhr. Nagel um der Pest willeneingeschlagen. Neue PflauzstädtePflanzstädte. Die Römer unternehmen in Gesellschaft der Truppen von Syrakusdie Belagerung von Agrigent. Es wird ein Treffen geliefert, in welchem die Carthaginenser auf dasHaupt geschlagen werden. Die Stadt wird nach einer Belagerung von sieben Monathen eingenommen.

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M. Valerius Maximusd. 489. J. n. E. R. d. 263. J. v. C. G.M. Otacilius Crassus.


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Bey Annäherung des Winters marschirTriumph des Valerius.Sonnen-Uhr.ten die Consuls, nachdem sie in den Oerternhinlängliche Besatzungen hinterlassen hatten,mit dem Uberreste ihrer Truppen nach Rom. M. Valerius, der sich in diesem Feldzuge aufeine ausnehmende Art hervorgethan hatte,erhielt die Ehre des Triumphs. Es wardin demselben eine Sonnen - Uhr zur Schaugetragen, eine ganz neue Sache für die Römer, die zeither die Stunden, wie unsreBauern auf dem Lande thun, nur nach denverschiedenen Höhen der Sonne abgemessenhatten. Die Sonnen-Uhr war horizontal,und kam von Catana her. Valerius ließsie hernach auf einem Gestelle bey den Rostris niedersetzen. Er ließ auch an die Seite des Hostilischen Saales ein Gemählde setzen, wo sein Treffen mit dem Hiero und denCarthaginensern abgebildet war, welcheszeither noch nicht üblich gewesen, und nachder Zeit etwas sehr gewöhnliches ward. Ererhielt den Zunahmen Messala, weil er dieStadt Meßina von der Gefahr befreyt, dieallem Ansehen nach seit der Abreise des Appius Claudius von den Carthaginensern unddem Hiero aufs neue war angegriffen wor M. Val. Maximus, u. M. Otacil. Crassus, Consuln. 19den. Er ward anfänglich Messana genannt,welcher Nahme sich nachgehends unvermerktin Messalla verwandelte. Es rührt vermuthlich aus einer Unachtsamkeit her, daßSeneka sagt, (*) die Eroberung von Meßina hätte ihm diesen Beynahmen erworben.


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Bey Annäherung des Winters marschirTriumph des Valerius.Sonnen-Uhr.ten die Consuls, nachdem sie in den Oerternhinlängliche Besatzungen hinterlassen hatten,mit dem Uberreste ihrer Truppen nach Rom. M. Valerius, der sich in diesem Feldzuge aufeine ausnehmende Art hervorgethan hatte,erhielt die Ehre des Triumphs. Es wardin demselben eine Sonnen - Uhr zur Schaugetragen, eine ganz neue Sache für die Römer, die zeither die Stunden, wie unsreBauern auf dem Lande thun, nur nach denverschiedenen Höhen der Sonne abgemessenhatten. Die Sonnen-Uhr war horizontal,und kam von Catana her. Valerius ließsie hernach auf einem Gestelle bey den Rostris niedersetzen. Er ließ auch an die Seite des Hostilischen Saales ein Gemählde setzen, wo sein Treffen mit dem Hiero und denCarthaginensern abgebildet war, welcheszeither noch nicht üblich gewesen, und nachder Zeit etwas sehr gewöhnliches ward. Ererhielt den Zunahmen Messala, weil er dieStadt Meßina von der Gefahr befreyt, dieallem Ansehen nach seit der Abreise des Appius Claudius von den Carthaginensern unddem Hiero aufs neue war angegriffen wor M. Val. Maximus, u. M. Otacil. Crassus, Consuln. 19den. Er ward anfänglich Messana genannt,welcher Nahme sich nachgehends unvermerktin Messalla verwandelte. Es rührt vermuthlich aus einer Unachtsamkeit her, daßSeneka sagt, (*) die Eroberung von Meßina hätte ihm diesen Beynahmen erworben.


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Ich habe gesagt, daß die Sonnen-Uhrenvor dem Consulate des Valerius zu Romunbekannt gewesen. Ein alter Autor setztnach dem Plinius den Gebrauch derselben inPlin. VII.60.ältere Zeiten in das eilfte Jahr vor dem Kriege des Pyrrhus. Aber Plinius selbst machtdieses Zeugniß zweifelhaft. Da die Sonnen-Uhr, (**) welche Valerius nach Rombrachte, auf den Meridian von Catana eingerichtet war, so fand man sie dem Meridiane von Rom nicht gemäß, und sie zeigte dieStunden nicht genau an. Etwa hundertJahr hernach ließ der Censor M. Philippuseine andere richtigere gleich neben des Valerius seiner aufstellen. Zwischen dieser Zeit wurden sie zu Rom etwas ziemlich gemeines, wieaus einem Uberreste des Plautus erhellet,

(*)Primus ex familia Valeriorum vrbis Messanaecaptae in se translato nomine Messana appellatus est, paulatimque vulgo permutante li teras Messala dictus est. Senec. de brev. vi tae 13.

(**)Quod quum ad clima Siciliae descriptum adhoras Romae non conueniret, Marcius Philippus Censor aliud iuxta constituit. Cense rin, de die nat. c. 22.

20 M. Val. Maximus, u. M. Otacil. Crassus, Consuln den uns A. Gellius aufbehalten hat. Eswird ein verhungerter Schmarotzer eingeführt: (*) Daß doch die Götter den verderben möchten, der diese Uhr zuerst erfunden, und den, der sie zuerst nach Rom gebracht hat, die zu meinem Unglücke den Tag,ich weiß nicht in wie viele Stückgen zerschneidet. Ehemahls war dieser Bauch die allerbeste und gewisseste Uhr. Auf die erste Anzeige, die sie mir that, konnte ich essen, ausserwenn ich nichts hatte. Aber heut zu Tagemag ich gleich etwas haben, es ist eben so, alsob ich nichts hätte. Ich kann sonst nichtessen, als wenn es der Sonne beliebt, manmuß ihren Lauf um Rath fragen. Die ganze Stadt ist voller Uhren, und diese schöneErfindung macht, daß der meiste Theil desVolks vor Hunger dürre wird.


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Ich habe gesagt, daß die Sonnen-Uhrenvor dem Consulate des Valerius zu Romunbekannt gewesen. Ein alter Autor setztnach dem Plinius den Gebrauch derselben inPlin. VII.60.ältere Zeiten in das eilfte Jahr vor dem Kriege des Pyrrhus. Aber Plinius selbst machtdieses Zeugniß zweifelhaft. Da die Sonnen-Uhr, (**) welche Valerius nach Rombrachte, auf den Meridian von Catana eingerichtet war, so fand man sie dem Meridiane von Rom nicht gemäß, und sie zeigte dieStunden nicht genau an. Etwa hundertJahr hernach ließ der Censor M. Philippuseine andere richtigere gleich neben des Valerius seiner aufstellen. Zwischen dieser Zeit wurden sie zu Rom etwas ziemlich gemeines, wieaus einem Uberreste des Plautus erhellet,

(*)Primus ex familia Valeriorum vrbis Messanaecaptae in se translato nomine Messana appellatus est, paulatimque vulgo permutante li teras Messala dictus est. Senec. de brev. vi tae 13.

(**)Quod quum ad clima Siciliae descriptum adhoras Romae non conueniret, Marcius Philippus Censor aliud iuxta constituit. Cense rin, de die nat. c. 22.

20 M. Val. Maximus, u. M. Otacil. Crassus, Consuln den uns A. Gellius aufbehalten hat. Eswird ein verhungerter Schmarotzer eingeführt: (*) Daß doch die Götter den verderben möchten, der diese Uhr zuerst erfunden, und den, der sie zuerst nach Rom gebracht hat, die zu meinem Unglücke den Tag,ich weiß nicht in wie viele Stückgen zerschneidet. Ehemahls war dieser Bauch die allerbeste und gewisseste Uhr. Auf die erste Anzeige, die sie mir that, konnte ich essen, ausserwenn ich nichts hatte. Aber heut zu Tagemag ich gleich etwas haben, es ist eben so, alsob ich nichts hätte. Ich kann sonst nichtessen, als wenn es der Sonne beliebt, manmuß ihren Lauf um Rath fragen. Die ganze Stadt ist voller Uhren, und diese schöneErfindung macht, daß der meiste Theil desVolks vor Hunger dürre wird.


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C. Valerius Flaccus.T. Otacilius Crassus.