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Rome d'abord, comme nous l'avonsPlin.XXXIII.3. marqué ailleurs, n'employoit pour monnoie que des masses d'airain plus ou moins pesantes, qui n'étoient point d'une figure Cn. Servil. M. At. Regul. Cons.An. R.535.Av. J. C.217.arrêtée & fixe, & qui n'avoient aucune empreinte. Le Roi Servius Tullius fit des As d'une livre, & c'est ce qu'on appelloitæs grave, dont il est parlé si souvent dans les Auteurs. Ces As se pesoient, & ne se comptoient point. Il les fit marquer de la figure de quelque bête, (pecudum) comme d'un bœuf, d'une brebis, d'un porc, ce qui leur donna le nom de pecunia. On partagea ces As en plusieurs piéces qui pesoient moins: semisses, la moitié; trientes, le tiers; quadrantes, le quart. On n'employa que de la monnoie d'airain jus qu'au Consulat de C. Fabius & de Q. Ogulnius, c'est-à-dire jusqu'à l'An de Rome 483. cinq ans avant la prémiére Guerre Punique.


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Zu Rom bediente man sich anfangs, wiewir anderwärts bereits gemeldet haben,nur kupferner leichter oder schwerer Massen,welche keine gewisse und bestimmte Figurund gar kein Gepräge hatten. Der König Serpius Tullius ließ Asse von einemPfunde machen, und diese nennte man aesgraue, wovon so oft bey den Schriftstellerngeredet wird. Die Asse wurden gewogen,und nicht gezählet. Er ließ ein Thier (pecus) darauf prägen; z. E. einen Ochsen, einSchaf, ein Schwein, und daher bekamensie den Namen pecunia. Man theilte dieseAsse in verschiedene Stücken, welche weniger wogen. Die Hälfte hieß Semissis, derdritte Theil Triens, der vierdte Theil Quadrans. Man bediente sich der kupfernenMünzen nicht länger, als bis zum Bürger meisteramte des L. Fabius und des Q. Ogulinus, das ist, bis zum 483 Jahre nach Erbauung der Stadt Rom, und 5 Jahre vordem ersten Punischen Kriege.