Suchbegriff: manius
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On fit aussi partir M. Atilius & ManiusAmbassadeau Roi d'E-gypte. Acilius, pour se rendre à Alexandrie auprès de Ptolémée (Philopator) & de Cléopatre, qui régnoient alors. Ils devoient leur demander le renouvellement de l'alliance & de l'amitié qui avoit été contractée entre la République & les Rois d'Egypte, & leur donner pour présens, au Roi une robe & une tunique de pourpre, avec une Marcel. et Levin. Cons.An. R. 542.Av. J. C.210.Amiculum.Le ConsulValére re-vient à Rome & rendcompte desaffaires desicile.Liv.XXVII. 5.chaire d'ivoire; & à la Reine, un manteau brodé, avec une espéce de voile de pourpre.


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L'affaire des Tarentins fut ensuite agitéeOn traitel'affaire desTarentins dans le sénat avec beaucoup de chaleur en Marcel. et Crispin. Cons.An. R. 544.Av. J. C.208.dans le sé-nat.Liv.XXVII. 25.Plut. inFab. 187.présence de Fabius. Ce Général, qui avoit employé la force des armes pour les réduire, employa alors son crédit pour les défendre. Tous les autres étoient déclarés contre eux, & soutenoient qu'étant aussi coupables que les Campaniens, ils devoient être punis avec autant de sévérité. Après bien des contestations, le sénat, conformément à l'avis de Manius Acilius, ordonna qu'on tiendroit une forte garnison dans la ville, que tous les habitans seroient contenus dans l'enceinte de leurs murailles, & que dans la suite, quand l'Italie seroit devenue plus tranquille, on examineroit leur affaire tout de nouveau.


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Man sonderte gleichfalls den M. Attilius und Manius Acilius nach Alexandrien anden Ptolomäus(Philopator) und die Kleopatra, welche damals regierten, ab. Siesollten das Bündniß und die Freundschaffterneuern, in welchen die Republick mit denKönigen von Egypten gestanden, und ihnen Geschenke überbringen; dem Könige eine Toge, einen Unterrock von Purpur, nebst einem helfenbeinern Stuhle; der Königin ein gesticktes Kleid und einen Schleier von Purpur.


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Hierauf wurden die Tarentinischen Angelegenheiten in Gegenwart des Fabius mitvieler Heftigkeit im Rathe getrieben. Wiedieser General alle seine Kräffte angewendethatte, die Tarentiner wieder zum Gehorsam zu bringen, so wandte er nunmehr allesein Ansehen an, sie zu vertheidigen. Alle die übrigen waren wider sie, und behaupteten, daß sie gleiche Schuld mit den Campanern hätten, und also eben so strenge müßten gestrafft werden. Nach vielen Streiten fiel endlich der Rath der Meinung des Manius Acilius bey, und beschloß, daß man eine starke Besatzung in die Stadt legen wolle, die Bürgen sollten in ihren Mauren eingeschlossen bleiben, und wann in Zukunfft die Ruhe in Jtalien würde hergestellet seyn, so könne man die Sache aufs neue untersuchen.