Suchbegriff: iuniu
Treffer: 14

2 - /

M. Aemilius Barbula. M. Junius Pera.


3 - /

Nouvelles sur la Sicile. M. Marcellus est chargé du commandement des troupes à la place de Varron. Crime de deux Vestales. Q Fabius Pictor est envoyé à Delphes. Victimes humaines immolées aux Dieux. Marcellus prend le commandement des troupes. M. Junius est créé Dictateur. Esclaves enrôlés. Annibal permet aux prisonniers d'envoyer quelques Députés à Rome pour traiter de leur rançon. Ordre à Carthalon, Officier Carthaginois, de sortir des terres de la République. Discours d'un des Députés en fa veur des prisonniers. Discours de Manlius Torquatus contre ces mêmes prisonniers. Le Sénat refuse de les racheter. Réflexion sur ce refus. Basse supercherie de l'un des Députés. Plusieurs Alliés quitent le parti des Romains. Varron retourne à Rome, & y est très bien reçu. Réflexion sur cette conduite du Peuple Romain.

4 - /

An. R.536.Av. J. C.216.M. Juniusest crééDictateur.Il léve destroupes.Lib. ibid.

5 - /

Ensuite M. Junius aiant été créé Dictateur par l'autorité du Sénat, il se nomma pour Général de la Cavalerie T. Sempronius; & parmi les nouvelles troupes qu'il mit sur pié, il enrôla tous les jeunes gens qui avoient atteint l'âge de dix-sept ans, (c'étoit le tems où les Romains commençoient à entrer dans la Milice, & à servir dans les Armées) & il en enrôla même quelques-uns qui avoient encore la robe* prétexte, & qui par conséquent étoient au dessous de cet âge. On en composa quatre Légions, & un Corps de mille Cavaliers. Il envoya en même tems demander aux Alliés du Nom Latin, le contingent qu'ils devoient fournir en vertu du Traité. Il fit aussi préparer des armes de toutes sortes, sans compter celles qu'on avoit autrefois prises sur les ennemis, & qu'on tira des Temples & des Portiques pour armer les nouveaux soldats.


6 - /

Pour ce qui est des Députés des prisonDiscoursd'un desDéputesen faveurdes prisonniers, il les admit à l'audience du Sénat. Alors M. Junius, le plus distingué d'entre eux, parla ainsi au nom de tous. Il n'y aC. Ter. Varro, L. Æmil. Cons.An. R.536.Av. J. C.216.niers devant le Sé nat.Liv. XXII.59.personne parmi nous, Messieurs, qui ne sache que le Peuple Romain est celui de tous les peuples qui fait le moins de cas des prisonniers. Mais, sans avoir trop bonne opinion de notre cause, nous pouvons assurer qu'il ne fut jamais de prisonniers qui méritassent moins que nous votre indifférence ou votre mépris. Car ce n'est point sur le champ de bataille, ni par crainte, que nous avons rendu nos armes à l'ennemi: mais après avoir combattu jusqu'à la nuit, en marchant sur des monceaux de corps morts, nous nous sommes enfin retirés dans notre camp. Pendant le reste du jour, & la nuit suivante toute entiére, malgré la fatigue que nous avions essuyée, & les blessures dont nous étions couverts, nous avons défendu nos retranchemens. Le lendemain, nous voyant investis par une Armée victorieuse, sans avoir la liberté de faire eau, ni aucune espérance de nous ouvrir un passage à travers une multitude innombrable d'ennemis; persuadés d'ailleurs que ce n'étoit pas un crime de conserver la vie à quelques restes d'une Armée qui avoit laissé cinquante mille hommes sur le champ de bataille; nous sommes enfin convenus de notre rançon, & nous avons rendu à l'ennemi des armes qui ne pouvoient plus nous être d'aucun secours.


7 - /

Les Romains, de leur côté, étoient fort attentifs à réparer leurs pertes. Outre leur aplication & leur vivacité naturelle, l'adversité les rendoit actifs & vigilans. Le Consul ne manquoit à rien de ce qui regardoit son ministére. Le Dic tateur M. Junius Péra, après avoir satis fait aux devoirs de la Religion, demanda au Peuple, selon la coutume, qu'il lui fût permis, en commandant l'Armée, de monter à cheval. Aussitôt il fit prendre les armes aux deux Légions que les Consuls avoient levées dès le commencement de l'année, aux huit mille Esclaves dont on a parlé ci-dessus, & aux Cohortes qu'on avoit tirées du territoire de Picéne, & d'un canton voisin qu'ils appelloient* Ager

* C'éto it un petit pays entre le Rubicon & l'Esis, conquis sur les Gaulois Sénonois, & partagé à des Citoyens Romains en vertu de la Loi qu'avoit porté Flaminius étant Tribun du Peuple.

C. Ter. Varro, L. Æmil. Cons.Gallicus. Comme ces forces ne lui paAn. R.536.Av. J. C.216.roissoient pas suffisantes, il eut recours à un reméde que l'on n'emploie que dans les conjonctures les plus extrêmes & les plus desespérées, & lorsque l'honnête est obligé de céder à l'utile. Il publia une Ordonnance, par laquelle il mettoit en liberté tous ceux qui étoient retenus dans les prisons, ou pour crimes, ou pour dettes: le nombre s'en trouva monter à six mille hommes. Comme l'Etat manquoit de tout, il falut leur donner pour armes celles qui avoient été conquises sur les Gaulois, & portées en triomphe par Flaminius. Après ces dispositions, il partit de la ville avec vingt-cinq mille hommes en état de combattre.


8 - /

Les Consuls firent un nouveau partage des troupes, différent de celui qui avoit été projetté. Fabius eut pour lui l'Armée que M. Junius avoit commandée pendant sa Dictature; & son Collégue Sempronius vingt-cinq mille Alliés, auxquels on joignit les esclaves qui s'étoient engagés volontairement à porter les armes au nombre de huit mille. On donna au Préteur M. Valerius les Légions qui étoient revenues de Sicile. Marcellus, avec la qualité de Proconsul, fut laissé à la tête de celles qui devoient veiller à la conservation de Nole T. Sempron. Q. Fabius, Cons. au dessus de Suessule. Les Preteurs, à quiAn. R.537.Av. J. C.215. étoient échues la Sicile & la Sardaigne, partirent pour se rendre à leurs départemens.


9 - /

Aeusserste Betrübniß, welche das verwirrte Gerücht von dem Verlust der Armee verursachet.Der Rath versammlet sich. Weiser Rathdes Fabius, Ordnung in der Stadt zu stiften. Der Rath bekömmt Briefe von Varro,worinn er ihm von den gegenwärtigen Umständen Nachricht giebt. Neuigkeit aus Sicilien. Dem M. Marcellus wird das Commando der Trupen, anstatt des Varro, aufgetragen. Verbrechen zweyer Vestalinnen.Q. Fabius Pictor wird nach Delphos geschickt. Es werden den Göttern menschliche Opffer geweihet. Marcellus übernimmt dasCommando der Trupen. M. Junius wirdzum Dictator erwählet. Es werden Sklaven gemacht. Hannibal erlaubt den Kriegsgefangenen, einige Deputirte nach Rom zuschicken, wegen ihrer Auslösung Unterhand lung zu pflegen. Carthalon, ein Carthaginensischer Officier, bekömmt Befehl, aus dem

10 - /

M. Juni us wird zum Dictator er wehlet. Er wirbt Tru pen an. Liv. ebend.

11 - /

Als hierauf M. Junius durch das Ansehen des Raths zum Dictator war erwählet worden, erwählte er sich den T. Titus Sempronius zum General der Reuterey, und unter den neuen Trupen, welche er auf die Beine brachte, warb er auch die jungen Leutean, welche ein Alter von 17 Jahren erreichethatten; (dieses war die Zeit, da die Römeranfiengen unter die Soldaten zu gehen undunter den Armeen zu dienen.) Er warbauch so gar einige an, welche den aufgeschürtzten (*) Rock trugen, und welche folglich dieses Alter noch nicht erreicht hatten.Man machte fünf Legionen und einen Hauffen von tausend Reutern daraus. Er ließzu gleicher Zeit von den Lateinischen Bundesgenossen den Antheil fordern, welchen sie wegen des Vertrags geben musten. Fernerließ er Waffen von allerley Art verfertigen,ohne diejenigen zu rechnen, welche man ehedem den Feinden abgenommen hatte, undwelche man aus den Tempeln und von denbedeckten Gängen nahm, die neuen Soldaten zu bewaffnen.


12 - /

Die Abgeordneten der Kriegsgefangenenließ er vor dem Rath zum Gehör. Daselbst redete M. Junius, der vornehmste unter ihRede eines von den Abgeordneten vor demRath, zum Besten der Kriegsgefan genen. Liv.XXII. 59.nen, in aller Nahmen, also: „Wir wissen alle, meine Herren, daß unter allen Völkerndas Römische Volk am wenigsten aus denKriegsgefangenen macht. Aber, ohne eineallzu gute Meynung für unsere Sache zuhegen, können wir versichern, daß noch niemals Kriegsgefangene gewesen, welche eureGleichgültigkeit und Verachtung wenigerverdienet haben, als wir. Denn wir habenweder auf dem Schlachtfelde, noch ausFurcht, unsere Waffen dem Feinde übergeben:sondern nachdem wir bis in die Nacht gestritten haben, und über die Hauffen todterKörper marschiret sind, haben wir uns endlich in unser Lager zurück gezogen. Denübrigen Theil des Tages und die ganze folgende Nacht über haben wir ungeachtet unserer grösten Ermüdung, und ungeachtetunserer häuffigen Wunden, unsere Verschanzungen vertheidiget. Den Tag darauf, als wir uns von einer siegreichen Armee angefallen sahen, haben wir uns, ohnedie Freyheit Wasser zu schöpffen, noch einige Hoffnung zu haben, uns durch die unzählbare Menge der Feinde einen Weg zumachen, und da wir ausserdem überzeugtwaren, daß es kein Verbrechen sey, einem 118 C. Terentius Varro, Cons.V. R. E. 536. V. C. G. 216.Ueberrest einer Armee, welche 50 tausendMann auf dem Schlachtfelde gelassen hatte, das Leben zu erhalten, endlich wegen derRanzion verglichen, und wir haben demFeinde die Waffen übergeben, welche unsdoch weiter keinen Beystand leisten konnten. Wir wusten, daß unsere Vorfahren den Galliern Gold gegeben hatten, sichzu ranzioniren, und daß unsere Väter, diese bey den Friedensbedingungen strengenMänner, nichts destoweniger Gesandte nachTarent geschicket hatten, wegen der Ranzion der Kriegsgefangenen Handlung zu pflegen. Inzwischen war doch die Schlacht,welche wir bey Allia wider die Gallier verlohren, und die, welche Pyrrhus bey Heraklea wider uns gewann, der Republick nichtsowohl durch die Niedersäbelung unsererSoldaten, als durch ihr Schrecken unddurch ihre Flucht, schädlich. Hingegen dasSchlachtfeld bey Cannas ist mit todtenRömern überstreuet, und wenn wir derWuth der Feinde entkommen sind, so istdieses darum geschehen, weil ihre Waffenstumpf, und ihre Kräffte durch das viele niedermetzeln erschöpffet worden. Es sind auchsogar einige unter uns, welchen man nichtvorwerffen kan, daß sie das Schlachtfeldverlassen hätten, sondern welche, da ihnenaufgetragen worden, das Lager zu bewachen, mit dem Lager selbst in der Feinde Gewalt gerathen sind. Ich mißgönne keinemmeiner Mitbürger und Kriegsgesellen sein und was sich unter ihm zugetragen. 119Glück, oder seine Umstände, und ich sucheV. R. E. 536. V. C. G. 216.mich nicht auf Unkosten eines andern zurechtfertigen. Aber damit man zum wenigsten nicht glaube, es sey ein Verdienst, wennman besser lauffen und geschwinder fliehenkann als andre, so glaube ich nicht, daßman uns diejenigen vorziehen sollte, welchedas Schlachtfeld grösten Theils ohne Waffen verlassen, und geeilet haben, Venusaoder Canusa zu erreichen, ich glaube auchnicht, daß sie sich selbst rühmen werden,sie könnten der Republick nützlicher seyn, alswir. Ihr werdet unter ihnen gute und tapfere Soldaten finden: aber das Andenken, welches wir eurer Gütigkeit schuldigseyn werden, daß ihr uns wieder erkauft undwieder in unser Vaterland gebracht habt,wird machen, daß wir, wenn es möglich ist,durch unsern Muth und Eifer sie noch zuübertreffen suchen werden. Ihr werbetSoldaten von allerley Stand und Alter.Ich habe vernommen, daß ihr 8000 Sklaven bewaffnet habt. Wir sind fast ebenso viele Bürger; und unsere Ranzion wirddas, was euch jene kosten, nicht übersteigen.Denn ich beleidigte den Römischen Namen,wenn ich sie auf eine andre Art mit unsvergliche. Wenn es euch schwer fallen sollte, sanft und freundlich mit uns zu verfahren; eine Begegnung, zu welcher wir nichtAnlaß gegeben zu haben glauben: so bedenket, was für einem Feinde ihr uns überlas sen wollt. Ist es ein Pyrrhus, welcher un 120 C. Terentius Varro, Cons.V. R. E. 536. V. C. G.216.sern Kriegsgefangenen als seinen Freundenund Gästen begegnete? oder ein Barbarund ein Carthaginenser, welcher eben so geitzig als grausam ist? Wenn ihr die Kettensehen solltet, mit welchen eure Bürger beladen seynd? wenn ihr Zeugen von dem Elendeseyn solltet, in welchen man sie seufzen läst;so würdet ihr wahrhaftig über ihrem Zustande nicht weniger gerühret werden, alswenn ihr auf einer andern Seite eure Augen auf das mit den Hauffen eurer Soldaten bedeckte Schlachtfeld bey Cannas würffet? Ihr höret das Seuffzen, und könnetdie Thränen unsrer Anverwandten sehen,welche eure Antwort mit einer entsetzlichenUnruhe erwarten. Urtheilet daraus, wiegroß die Unruhe unsrer abwesenden Mitgesellen über euren Ausspruch seyn wird, welche ihr Leben und ihre Freyheit entscheidenwird. Wenn Hannibal, wider seine Gemüthsart, uns sanft und gütig begegnensollte: würden wir wohl das Leben ertragen können, nachdem ihr uns der Ranzionunwürdig geschätzet hättet? Die Kriegsgefangenen, welche Pyrrhus ehedem ohneRanzion zurück schickte, kamen wieder nach Rom: aber sie kamen wieder zum Pyrrhuszurück, in Begleitung der Vornehmsten derStadt, welche man zu ihm geschickt hatte,wegen ihrer Ranzion Handlung zu pflegen.Sollte ich wohl, als ein Bürger, welchergeringer geschätzet worden, als der Wertheiner mäßigen Summe Geldes, in mein und was sich unter ihm zugetragen. 121Vaterland zurück kommen? Jeder hat seiV. R. E. 536. V. C. G. 216.ne Maximen und seine Art zu denken. Ichweiß, daß ich in Gefahr bin mein Leben zuverliehren: aber ich fürchte mich viel weniger zu sterben, als ohne Ehre zu leben, undich würde mich auf immer für geschändethalten, wenn es schiene, als wenn ihr uns,als elende Leute, welche eures Mitleidens unwürdig wären, verdammet hättet. Dennman darf niemals glauben, daß es das Geldsey, welches ihr hättet schonen wollen.“


13 - /

Die Römer waren indessen ihrer SeitsDer Dictator geht von Rom ab, nach dem er zuvor alle nöthige Einrichtungen allda gemachet hatte. Liv.XXIII.14.höchst aufmerksam, ihrem Schaden wiederbeyzukommen, und die Scharte auszuwetzen.Sowohl ihr gewöhnlicher Eifer und angebohrne Lebhaftigkeit, als auch die Widerwärtigkeiten machten sie itzt munter und hurtig. Der Consul that alles, was sein Amt mit sich brachte, und der Dictator M. Junius Pera bat ihm, nachdem er denen Pflichten der Religion ein Genügen gethan hatte,bey dem Volke nach hergebrachter Gewohnheit die Erlaubnis aus, die Armee zu Pferdecommandiren zu dürfen. Gleich darauf musten sowohl die beyden Legionen, welche dieConsuls zu Anfange des Jahrs angeworbenhatten, zu den Waffen greiffen, als auch dieacht tausend Sclaven, von denen oben gedacht worden, und die Regimenter, welcheman aus dem Picenischen und dem also genannten (*) Gallischen Gebiete gezogen hatte. Da aber diese Macht ihm nicht zureichend zu seyn schien, nahm er seine Zufluchtzu einem Mittel, welches man sonst nur in denen bedrängtesten und verzweifeltesten Umständen, in denen das anständige dem nützlichennachstehen muß, zu ergreiffen pflegte. Ergab eine Verordnung, vermöge welcher allen, (*) Ist ein kleines Stück Landes, zwischen denFlüssen Rubicon und Aesis, welches von denSenonischen Galliern war erobert, und nachher vermöge des Gesetzes, das der Zunftmei ster des Volks Flaminius gegeben hatte, unter Römische Bürger vertheilet worden. 164 C. Terentius Varro, Cons.V. R. E. 536. V. C. G. 216. die entweder offenbarer Verbrechen wegen,oder Schulden halber gefangen sassen, dieFreyheit ertheilet wurde, deren Anzahl sichauf sechstausend Mann belief. Weil aberder Staat bey nahe an allen Mangel litte,muste man diejenigen Waffen, welche manvon den Galliern erbeutet hatte, und welche dem Flaminius bey seinem triumphirenden Einzug waren vor getragen worden, unter diese neueSoldaten austheilen. Nach diesen gemachtenEinrichtungen verließ der Dictator mit fünfund zwanzig tausend Mann, welche im Stande waren zu fechten, die Stadt.


14 - /

Die Consuls machten eine neue Vertheilung der Trupen, die von der, welche manvorher entworffen hatte, ganz unterschieden war. Fabius bekam die Armee, welche M.Junius als Dictator commandiret hatte, und seinem Collegen Sempronius wurdendie fünf und zwanzig tausend Mann von denBundsgenossen zu Theil, zu denen noch dieacht tausend Sclaven, welche die Waffenfreywillig ergriffen hatten, geschlagen wur den. Dem Prätor, M. Valerius, gab mandie Legionen, die aus Sicilien zurück gekommen waren. Den Marcellus ließ man unter dem Titul eines Proconsuls an der Spitze dererjenigen, welche oberhalb SvessulaCastel di Sessola.stunden, und vor die Erhaltung der StadtNola wachen sollten. Die Prätoren, welchen Sicilien und Sardinien zugefallen war,brachen von Rom auf, sich an ihre Posten zubegeben.