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1 - Reflexions sur comique-lamoryant /

Quelque impoſant que pa roiſſe ce raiſonnement, il ſuffit, pour le renverſer, de vous accorder vos principes & d'en nier la conſéquen ce. Il eſt vrai que toutes les produc tions de génie ont, pour ainſi dire, leurs tâtonnemens, juſqu'à ce qu'el les ſoient arrivées à leur perfection; mais il eſt également certain que pluſieurs y ſont parvenues, tels que le Poëme épique, l'Ode, l'Eloquen ce & l'Hiſtoire. Homere, Pindare, Démoſthenes & Theucidides, ont été les Maîtres de Virgile, d'Horace, de Ciceron & de Tite-Live. L'autorité réunie de ces grands hommes a fait loi; & cette loi a depuis été adoptée par toutes les Nations ſavantes, qui n'ont crû de voir attacher la perfection qu'à l'imi tation exacte de ces anciens mo- deles. Or, s'il eſt vrai que l'eſſence de ces diverſes productions eſt auſſi invariablement fixée qu'elle peut l'être par les autorités les plus reſ- pectables, par quelle raiſon particu liere ſeroit-il plus libre de chan ger celle de la Comédie, également conſacrée par l'approbation univer- ſelle?


2 - Reflexions sur comique-lamoryant /

Et ne croyez pas que cet aveu unanime ſoit difficile à prouver. Pre nez Ariſtophanes, Plaute & Téren- ce; parcourez le Théatre Anglois, & les bonnes Pieces du Théatre Ita lien; rappellez-vous enſuite Mo liere & Renard; conciliez ces preu ves de fait avec les déciſions des Lé- giſlateurs de la Scene, avec Ariſtote, Horace, Deſpréaux, le P. Rapin; & vous trouverez les uns & les autres également oppoſés au ſyſtème du comique-plaintif. Vous ſentirez bien des différences néceſſaires dans les mœurs & dans le génie des Poëtes de chaque Nation. Vous trou verez bien, ſuivant la nature des ſu jets, un air néceſſairement grave dans les Pieces qui attaquent les vices du cœur; un mélange de ba dinage & de ſérieux dans celles qui frondent les travers de l'eſprit; en fin un ton purement comique dans celles qui ne ſont deſtinées qu'à peindre le ridicule: Leves ubi licet; graves ubi decet *. Vous verrez encore* Le P.Porée. que l'art n'eſt point obligé de nous faire rire, & qu'il lui ſuffit ſouvent d'aller juſqu'à ce ſentiment intérieur qui dilate l'ame, ſans paſſer à ces mouvemens immodérés qui font éclater: mais vous n'y verrez point ce ton triſte & dolent, & ce roma- neſque lugubre, devenu ſous mes yeux l'idole des femmes & des jeu nes gens: en un mot, cet examen vous convaincra qu'il eſt contre la nature du genre comique de nous faire pleurer ſur nos défauts, même dans la peinture des vices les plus odieux; que le maſque de Thalie ne ſouffre, pour ainſi dire, que des lar mes de joie ou d'amour; & que ceux qui affectent de lui en faire verſer de quaſi-tragiques, peuvent chercher une autre Divinité pour lui adreſſer leurs hommages.


3 - Betrachtungen über das weinerlich Komische /

So übertäubend als dieser Einwurf zu seyn scheinet, so braucht es, ihn übern Haufen zu stossen, doch weiter nichts, als daß man die Grundsätze desselben zugiebt, und die daraus gemachte Folgerung leugnet. Es ist wahr, daß alle Geburthen des Genies, so zu reden, ihr Tappen haben, bis sie zu ihrer Vollkommenheit gelangt sind; allein, es ist auch eben so gewiß, daß verschiedne von denselben, sie schon erreicht haben, als das epische Gedichte, die Ode, die Beredsamheit und die Historie. Homer, Pindarus,Demosthenes und Thucydides sind die Lehrmeister des Virgils, des Horaz, des Cicero und des Livius gewesen. Das vereinigte Ansehen dieser grossen Männer ist zum Gesetze geworden; und dieses Gesetz haben hernach alle Nationen angenommen, und die Vollkommenheit einzig und allein an die genaue Nachahmung dieser alten Muster gebunden. Wenn es also nun wahr ist, daß das Wesen dieser verschiednen Werke so unveränderlich festgestellet ist, als es nur immer durch die aller verehrungswürdigsten Beyspiele festgestellet werden kann; aus was für einer besondern Ursache sollte es denn nur vergönnet seyn, das Wesen der Komödie zu ändern, welches durch die allgemeine Billigung nicht minder geheiliget ist.


4 - Betrachtungen über das weinerlich Komische /

Und man glaube nur nicht, daß diese durchgängige Uebereinstimmung schwer zu beweisen sey. Man nehme den Aristophanes, Plautus und Terenz; man durchlaufe das englische Theater und die guten Stücke des Jtaliänischen; man besinne sich hernach auf den Moliere undRegnard und verbinde diese thätlichen Beweise mit den Entscheidungen der dramatischen Gesetzgeber, des Aristoteles, des Horaz, des Despreaux, des P. Rapins, so wird man die einen sowohl, als die andern, dem System des kläglichKomischen gänzlich zuwider finden. Zwar wird man die nothwendigen Verschiedenheiten zwischen den Sitten und dem Genie der Dichter eines jeden Volks bemerken; zwar wird man, nach Beschaffenheit der Gegenstände, in den Stücken, welche die Laster des Herzens angreifen, einen nothwendig ernsthaften Ton antreffen, so wie man in denen, welche mit den Ungereimtheiten des Verstandes zu thun haben, eine Vermischung des Scherzes und des Ernstes, und in denen, welche nur das Lächerliche schildern sollen, nichts als komische Züge und Wendungen finden wird; zwar wird man sehen, daß die Kunst eben nicht verbunden ist, uns zum Lachen zu bewegen, und daß sie sich oft begnügt, uns weiter nicht als auf diejenige innereEmpfindung, welche die Seele erweitert, zu bringen, ohne uns zu den unmäßigen Bewegungen zu treiben, welche laut ausbrechen: Betrachtungen über das aber jenen traurigen und kläglichen Ton, jenesromanenhafte Gewinsle, welches vor unsern Augen der Abgott des Frauenzimmers und der jungen Leute geworden ist, wird man ganz und gar nicht gewahr werden. Mit einem Worte, diese Untersuchung wird uns überzeugen, daß es wider die Natur der komischen Gattung ist, uns unsre Fehler beweinen zu lassen, es mögen auch noch sohäßlicheLaster geschildert werden; daß Thalia, so zu reden, auf ihrer Maske keine andre Thränen, als Thränen der Freude und der Liebe duldet; und daß diejenigen, welche sie quasi=tragische Thränen wollen vergiessen lassen, sich nur eine andre Gottheit für ihre Opfer suchen können.


5 - Betrachtungen über das weinerlich Komische /

Horaz in der Dichtkunst

6 - Discours de la tragedie /

C'est par cette raison qu'Horace ne veutpas que Médée tue ses enfans, ni qu'Atréefasse rôtir ceux de Thyeste à la vûe du peuple. L'horreur de ces actions engendre une répugnance à les croire, aussi-bien que lamétamorphose de Progné en oiseau, & deCadmus en serpent, dont la représentationpresque impossible excite la même incrédulité, quand on la hazarde aux yeux du Spectateur.


7 - Discours de la tragedie /

L'Horace en peut fournir quelques exemples: L'unité de lieu y est exacte, touts'y passe dans une Salle. Mais si on en faisoit un roman avec les mêmes particulari- tés de Scéne en Scéne, que j'y ai employées, feroit-on tout passer dans cette Salle? A la fin du prémier Acte, Curiace &Camille sa maîtresse vont rejoindre le restede la famille, qui doit être dans un autre apartement; entre les deux Actes, ils y reçoivent la nouvelle de l'élection des trois Horaces; à l'ouverture du second, Curiace paroit dans cette même Salle pour l'en congratuler. Dans le Roman il auroit fait cette congratulation au même lieu où l'on en reçoit la nouvelle en présence de toute la famille, & il n'est point vraisemblable qu'ilss'écartent eux deux pour cette conjouïssance; mais il est nécessaire pour le Théatre, & à moins que cela les sentimens des trois Horaces, de leur pére, de leur sœur, deCuriace, & de Sabine, se fussent présentés DE LA TRAGEDIE. 543 à faire paroître tous à la fois. Le Romanqui ne sait rien voir, en fût venu aisémentà bout: mais sur la Scéne il a fallu les séparer, pour y mettre quelque ordre, & lesprendre l'un après l'autre, en commençant par ces deux-ci, que j'ai été forcé de ramener dans cette Salle sans vraisemblance. Cela passé, le reste de l'Acte est tout - à - faitvraisemblable, & n'a rien qu'on fût obligéde faire arriver d'une autre maniére dansle Roman. A la fin de cet Acte, Sabine & Camille outrées de déplaisir se retirent decette Salle, avec un emportement de douleur, qui vraisemblablement va renfermerleurs larmes dans leur chambre, où le Roman les feroit demeurer, & y recevoir la nouvelle du combat. Cependant, par la nécessité de les faire voir aux Spectateurs,Sabine quitte sa chambre au commencement du troisiéme Acte, & revient entretenir ses douloureuses inquiétudes dans cette Salle, où Camille la vient trouver. Celafait, le reste de cet Acte est vraisemblable,comme en l'autre: & si vous voulez examiner avec cette rigueur les prémiéres scénes des deux derniers, vous trouverez peut- être la même chose, & que le Roman placeroit ses personnages ailleurs qu'en cetteSalle, s'ils en étoient une fois sortis, comme ils en sortent à la fin de chaque Acte.


8 - Discours de la tragedie /

Si vous me demandez jusqu'où peut s'étendre cette liberté qu'a le Poëte d'allercontre la vérité & contre la vraisemhlance, par la considération du besoin qu'il ena, j'aurai de la peine à vous faire une réponse précise. J'ai fait voir qu'il y a des DE LA TRAGEDIE. 557 choses sur qui nous n'avons aucun droit;& pour celles où ce privilége peut avoirlieu, il doit être plus ou moins resserré,selon que les sujets sont plus ou moinsconnus. Il m'étoit beaucoup moins permis dans Horace, & dans Pompée, dont leshistoires ne sont ignorées de personne, quedans Rodogune & dans Nicoméde, dontpeu de gens savoient les noms avant queje les eusse mis sur le Théatre. La seule mesure qu'on y peut prendre, c'est quetout ce qu'on y ajoûte à l'histoire, & tousles changemens qu'on y apporte, ne soientjamais plus incroyables, que ce qu'on enconserve dans le même poëme. C'est ainsi qu'il faut entendre ce vers d'Horace touchant les fictions d'ornement,


9 - Discours de la tragedie /

& non pas en porter la signification jusqu'à celles qui peuvent trouver quelqueexemple dans l'Histoire, ou dans la Fable,hors du sujet qu'on traite. Le même Horace décide la question autant qu'on la peutdécider par cet autre vers, avec lequel jefinis ce Discours:


10 - Discours de la tragedie /

De l'action je passe aux Actes, qui endoivent contenir chacun une portion, maisnon pas si égale, qu'on n'en réserve pluspour le dernier que pour les autres, & qu'onn'en puisse moins donner au prémier qu'aux autres. On peut même ne faire autre chose dans ce prémier que peindre les mœursdes personnages, & marquer à quel pointils en sont de l'Histoire qu'on va représenter. Aristote n'en prescrit point le nombre. Horace le borne à cinq, & bien qu'il défende d'y en mettre moins, les Espagnolss'opiniâtrent à l'arrêter à trois, & les Italiens font souvent la même chose. LesGrecs les distinguoient par le chant du chœur,& comme je trouve lieu de croire qu'en quelques - uns de leurs poëmes ils le faisoient chanter plus de quatre fois, je nevoudrois pas répondre qu'ils ne les poussas- DES TROIS UNITE'S. 571 sent jamais au-delà de cinq. Cette maniérede les distinguer étoit plus incommode quela nôtre; car, ou l'on prêtoit attention àce que chantoit le chœur, ou l'on n'y en prêtoit point. Si l'on y en prêtoit, l'esprit de l'Auditeur étoit trop tendu, & n'avoitaucun moment ponr se délasser. Sil'on n'y enprêtoit point, son attention étoit trop dissipéepar la longueur du chant, & lorsqu'un autreActe commençoit, il avoit besoin d'un effortde mémoire pour rappeller en son imagination ce qu'il avoit déja vû, & en quel point l'action étoit demeurée. Nos violons n'ontaucunes de ces incommodités. L'esprit del'Auditeur se relâche durant qu'ils jouent,& réfléchit même sur ce qu'il a vû, pourle louer, ou le blâmer, suivant qu'il lui a plû, ou déplû; & le peu qu'on les laisse jouer lui en laisse les idées si récentes, quequand les Acteurs reviennent, il n'a pointbesoin de se faire effort pour rappeller &renouer son attention.


11 - Discours de la tragedie /

Je ne serois pas si rigoureux pour les entrées. L'Auditeur attend l'Acteur, & bienque le Théatre représente la chambre, oule cabinet de celui qui parle, il ne peut toutefois s'y montrer, qu'il ne vienne de derriére la tapisserie; & il n'est pas toujours aisé de rendre raison de ce qu'il vient de faire en ville, avant que de rentrer chez lui,puisque même quelquefois il est vraisemblable qu'il n'en est pas sorti. Je n'ai vûpersonne se scandaliser de voir Æmilie commencer Cinna, sans dire pourquoi elle vientdans sa chambre. Elle est présumée y êtreavant que la piéce commence, & ce n'estque la nécessité de la représentation qui lafait sortir de derriére le Théatre, pour yvenir. Ainsi je dispenserois volontiers decette rigueur toutes les prémiéres scénes dechaque Acte, mais non pas les autres; parce qu'un Acteur occupant une fois le Théatre, aucun n'y doit entrer qui n'aye sujet de parler à lui, ou du moins qui n'aye lieude prendre l'occasion, quand elle s'offre.Sur-tout, lorsqu'un Acteur entre deux foisdans un Acte, soit dans la Comédie, soit dans la Tragédie, il doit absolument, oufaire juger qu'il reviendra bien-tôt quand ilsort la prémiére fois, comme Horace dans DES TROIS UNITE'S. 573 le second Acte, & Julie dans le troisiéme de la même piéce; ou donner raison enrentrant, pourquoi il revient si-tôt.


12 - Discours de la tragedie /

Quant à l'unité de lieu, je n'en trouveaucun précepte ni dans Aristote, ni dansHorace. C'est ce qui porte quelques-unsà croire que la régle ne s'en est établie qu'en conséquence de l'unité du jour, &à se persuader ensuite qu'on le peut étendre jusques où un homme peut aller &revenir en vingt-quatre heures. Cette opinion est un peu licentieuse, & si l'on fai- soit aller un Acteur en poste, les deuxcôtés du Théatre pourroient représenterParis & Rouen. Je souhaiterois, pourne point gêner du tout le spectateur, quece qu'on fait représenter devant lui en deux heures, & que ce qu'on lui fait voir sur un Théatre qui ne change point, pûts'arrêter dans une chambre, ou dans unesalle, suivant le choix qu'on en auroit fait:mais souvent cela est si mal-aisé, pour nepas dire impossible, qu'il faut de nécessité trouver quelque élargissement pour le lieu,comme pour le temps. Je l'ai fait voirexact dans Horace, dans Polyeucte, &dans Pompée; mais il faut pour cela, oun'introduire qu'une femme comme dans DES TROIS UNITE'S. 583Polyeucte, ou que les deux qu'on introduit ayent tant d'amitié l'une pour l'autre,& des intérêts si conjoints qu'elles puissentêtre toujours ensemble, comme dans l'Horace, ou qu'il leur puisse arriver comme dans Pompée, où l'empressement de la curiosité naturelle fait sortir de leurs apartemens Cléopatre au second Acte, & Cornélie au cinquiéme, pour aller jusques dansla grand-salle du Palais du Roi, au devant des nouvelles qu'elles attendent. Il n'en vapas de même dans Rodogune. Cléopatre& elle ont des intérêts trop divers pourexpliquer leurs plus secrettes pensées enmême lieu. Je pourrois en dire ce que j'ai dit de Cinna, où en général tout sepasse dans Rome, & en particulier moitié dans le cabinet d'Auguste, & moitiéchez Æmilie. Suivant cet ordre le prémier Acte de cette Tragédie seroit dansl'antichambre de Rodogune, le second dansla chambre de Cléopatre, le troisiéme danscelle de Rodogune: mais si le quatriémepeut commencer chez cette Princesse, il n'y peut achever, & ce que Cléopatre ydit à ses deux fils l'un après l'autre, y seroit mal placé. Le cinquiéme a besoind'une salle d'audience, où un grand peu- ple puisse être présent. La même chosese rencontre dans Héraclius. Le prémierActe seroit fort bien dans le cabinet dePhocas, & le second chez Leontine; mais 584 TROISIE'ME DISCOURS. si le troisiéme commence chez Pulchérie,il n'y peut achever; & il est hors d'apparence que Phocas délibére dans l'appartement de cette Princesse de la perte de sonfrére.


13 - Von den Trauerspielen /

Aus diesem Grunde will Horaz nicht, daß Medeaihre Kinder vor den Augen des Volks umbringe, oder Atreus die Kinder des Thyestes brate. Die Schrecklichkeit dieser Handlungen verursacht, daß man sie mitMühe glaubt, so wie die Verwandlung der Prognein einen Vogel, oder des Cadmus in eine Schlangeeben diesen Unglauben hervorbringen würde, wennman sie vor den Augen der Zuschauer vorstellen wollte, so unmöglich als diese Vorstellung an sich selber ist.


14 - Von den Trauerspielen /

Horazier

15 - Von den Trauerspielen /

Wenn man mich fragt, wie weit sich diese Freyheit des Dichters, im Fall der Nothwendigkeit, widerdie Wahrheit und Wahrscheinlichkeit zu verstoßen, erstrecke, so werde ich schwerlich eine bestimmte Antwort darauf geben können. Ich habe gezeigt, daß esSachen giebt, worüber wir kein Recht haben, und indenjenigen, wo diese Freyheit Statt finden kann, mußsie mehr oder weniger eingeschränkt seyn, nachdem derStoff mehr oder weniger bekannt ist. Es war mir in den Horaziern, und in dem Pompejus weit weniger vergönnt, weil jedermann ihre Geschichte weis, als in der Rodogune oder im Nikomed, welche wenig Leute, ehe ich sie auf die Bühne brachte, auch nur den Namen nach kannten. Die einzige Maaßregel, die man beobachten muß, ist, daß alles was wir zur Historie hinzusetzen, und alle Veränderungen die wir darinne machen, niemals unglaublicher seyn müssen, als dasjenige ist, was wir in dem Gedichte davon beybehalten. von den Trauerspielen insbesondre. 265 Auf diese Art müssen wir den Vers bey dem Horaz, wegen der erdichteten Auszierungen, verstehen,