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On eut une grande joie à Rome d'y voir arriver Hiéron Roi de Sicile, Prince qui étoit attaché à la République par les liens d'une amitié sincére & d'une fidélité invio lable. Eutrope dit qu'il étoit venu à RomeJeux Séculaires.pour assister aux Jeux Séculaires, qui réellement, selon quelques Auteurs, devoient se célébrer pour la troisiéme fois l'année suivante, & aux préparatifs desquels on travailloit dès lors. Pour faire régner l'abondance à Rome dans un tems où il devoit s'y trouver un grand concours de peuples, ce généreux Prince fit présent au Peuple Romain de deux cens mille boisseaux de blé. J'en expliquerai en peu de mots les cérémonies, à la fin de ce paragraphe.


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Plutarque nous apprend que Pompée dans son triomphe sur Mithridate, fit porter des Inscriptions ou Tableaux écrits en gros caractéres, où on lisoit que jusqu'alors les revenus publics ne s'étoient montés par an qu'à cinq mille myriades ou cinquante millions de dragmes Attiques, c'est-à-dire à vingt-cinq millions de notre monnoie; & que du revenu de ses conquêtes les Romains en tiroient huit mille cinq cens myriades, ou quatre-vingts cinq millions de dragmes, c'est-à-dire quarante-deux millions cinq cens mille livres de notre monnoie. Ces deux sommes, en les additionnant, faisoient soixante-sept millions cinq cens mille livres. Il ne s'agit ici que de l'Asie. La conquête des Gaules, & celle de l'Egypte, augmentérent encore les revenus du Peuple Ro main. Le Tribut qu'imposa César sur les Sueton. inCæs. XXV.Eutrop. lib.VI.Gaules, selon Suétone & Eutrope, se montoit à dix millions de dragmes, ou cinq millions de livres de notre monnoie. Et Vell. II.39.selon Velléïus, l'Egypte payoit à peu près autant que la Gaule.


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Man hatte in Rom eine grosse Freudeüber die Ankunfft des Königes von SicilienHiero, eines Prinzen, welcher mit der Republik durch die Bande einer aufrichtigenFreundschafft und einer unveränderlichenEutrop. ibid.Treue verbunden war. Eutropius sagt,daß er nach Rom gekommen wäre, umden hundertjährigen Spielen beyzuwohnen, die nach einigen SchrifftstellrenSchriftstellern in derThat das folgende Jahr zum drittenmalegefeyert werden sollten, und zu welchen manitzt die nöthigen Anstallten machte. Damit inRom, wo sich um die Zeit ein grosser Zulauff von Menschen einfand, kein Mangelan Lebensmitteln seyn möchte, so machte dieser großmüthige Prinz den Römern ein Geschencke von zweyhundert tausend Scheffeln P. Corn. Lent. Caudinus, u. C. Licin. Varus, Cons. 209 Korn. Ich will die Ceremonien dieserSpiele zu Ende dieses Paragraphen mit wenigen erzählen.


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Plutarch erzählt uns, daß Pompejus beyseinem Triumphe über den Mithridates grossebeschriebene Tafeln vor sich hertragen ließ,worauf man las, daß bis dahin die öffentlichen Einkünfte jährlich sich nicht höher alsPlut. in Pomp.bis auf fünftausend Myriaden, oder funfzigMillionen Attische Drachmen belaufen hätten, die fünf und zwanzig Millionen nach 470 Von den Imposten. unserer (französischen) Münze betragen; daßnun aber durch seine Eroberungen die öffentlichen Einkünfte mit acht tausend fünfdert Myriaden, oder fünf und achzig Millionen Drachmen, nach unserer Münze abermit zwo und vierzig Millionen und fünfhunhundert tausend Pfunden vermehrtworden wären. Wenn man diese beydenSummen zusammen rechnete, so betrugen siesieben und sechzig Millionen und fünfhunderttausend Pfunde. Es ist aber hier nur dieRede von Asien. Die Eroberung von Gallien und Aegypten vergrösserte die Einkünfte des Römischen Volkes noch mehr. DerTribut, den Cäsar auf die Gallier legte, beSvet. in Cæs. XXV Eutrop. I. VI. Vell. II.39.lief sich nach dem Svetonius und Eutropius auf zehn Millionen Drachmen und auffünf Millionen französischer Pfunde. Undnach dem Vellejus bezahlte Aegypten so vielals Gallien.