Suchbegriff: busa
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A l'égard de ceux qui s'étoient retirés à Canouse, comme les habitans ne leur donnoient que le couvert, une Femme de l'Apulie, considérable par sa naissance & ses richesses, nommée Busa, leur fournit des habits, des vivres, & même de l'argent. Le Sénat ne manqua pas, après la guerre, de lui témoigner la reconnoissance qu'elle méritoit pour une si grande générosité, & de lui accorder des honneurs extraordinaires.


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Mais Busa, malgré ses grands biens &Le Con sul Varronse rend àCanouse.Liv. ibid. son bon cœur, se trouvoit accablée par le grand nombre de ceux qui avoient besoin de son secours. Déja plus de dix mille hommes s'étoient rendus dans cette ville.Appius & Scipion aiant apris que l'un des Consuls avoit survécu à la perte de la bataille, lui envoyérent un courier, pour lui aprendre ce qu'ils avoient de troupes avec eux, & lui demander s'il vouloit qu'ils les lui menassent à Venouse, ou s'ils l'attendroient à Canouse Varron aima mieux aller les joindre où ils étoient. Quand il y fut arrivé, il se vit à la tête d'un corps de troupes qui pouvoit passer pour une Armée Consulaire; & avec ces forces, s'il n'étoit pas encore en état de tenir la campagne, au moins il pouvoit arrêter l'ennemi, en lui opposant les murailles de Canouse.


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Die Einwohner zu Canusa gaben denen,Freygebigkeit einer Canusischen Dame. Liv. ebendaselbst.welche dahin geflüchtet waren, nichts alsDach und Fach; aber eine Apulische Frau,welche Geburt und Reichthum ansehnlichmachte, Namens Busa, gab ihnen Kleider,Lebensmittel, und so gar Geld. Der Rathermangelte nicht, ihr nach dem Kriege die Erkenntlichkeit, welche sie für eine so grosseFreygebigkeit verdiente, zu zeigen, und ihrausserordentliche Ehre zu erweisen.


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Aber die Busa ward, ohngeachtet ihresDer Bürge meister Varro, begiebt sich nach Canusa. Liv. eben daselbst.grossen Vermögens und ihres guten Herzens, von der grossen Menge derjenigen, welche ihrer Hülffe nöthig hatten, überhäufft.Es hatten sich schon mehr als 10 tausendMann in diese Stadt begeben. Als Appius106 C. Terentius Varro, Cons.V. R. E. 536. V. C. G. 216. und Scipio erfuhren, daß einer von den beyden Bürgemeistern den Verlust der Schlachtüberlebet habe, schickten sie ihm einen Courier, und meldeten ihm, wieviel sie Trupenbey sich hätten, und liessen ihn fragen, ob siesie nach Venusa bringen, oder ob sie ihn in Canusa erwarten sollten. Varro wollte lieberzu ihnen kommen. Als er daselbst angelangetwar, sahe er sich an der Spitze eines Hauffen Volkes, welcher für eine bürgerliche Armee gelten konnte, und welcher so viel Kräffte hatte, daß er, wenn er nicht im Felde aushalten könnte, wenigstens den Feind würdeaufhalten können, wenn man ihm die Canusischen Mauern entgegen setzte.