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1 - Réflexions critiques sur la Poesie et sur la Peinture /

Malheureusement pour nous, il ne nous est resté aucune des méthodes composées pour enseigner la pratique de ces arts, dont il y avoit tant de Professeurs dans la Grece & dans l'Italie. D'ailleurs ceux des Auteurs anciens qui ont écrit sur la Musique & dont les ouvrages nous sont demeurés, ont très- peu parlé de la mécanique des arts subordonnés à la science de la musique qu'ils ont regardés comme des pratiques faciles & communes, dont l'explication n'étoit bonne qu'à exercer les talens de quelque maître à gages. Par exemple, Saint Augustin qui a composé sur la musique un ouvrage divisé en six livres, dit qu'il n'y traitera point de toutes ces pratiques, parce que ce sont des choses sues communément par les hommes de théâtre les plus médiocres. Non enim tale aliquid hic dicendum est, quale quilibet Cantores Histrionesque noverunt (*).


2 - Réflexions critiques sur la Poesie et sur la Peinture /

Nous avons déja dit que la musique rithmique donnoit des régles pour assujettir à une mesure certaine tous les mouvemens du corps & de la voix, de maniere qu'on pût en battre les tems. Lerithmemusical, dit Aristides (*), regle aussi-bien le geste que la récitation. Cet art enseignoit donc le grand usage qu'on peut faire de la mesure & du mouvement. On verra par ce que nous allons dire sur ce sujet, que les Anciens faisoient un très-grand cas de cet art. Saint Augustin dit dans l'endroit de ses rétractations où il parle du livre qu'il avoit écrit sur la musique, qu'en l'écrivant, son objet principal avoit été d'y traiter du secours merveilleux qu'on peut tirer de la mesure & du mouvement. Et de musica sex volumina quantum attinet ad eam partem, quæ rithmus vocatur (**).


3 - Réflexions critiques sur la Poesie et sur la Peinture /

Les Romains qui employoient souvent des termes Grecs en parlant de musique, en sa- voient certainement l'étimologie, & ce que pouvoit changer dans la signification propre de ces termes un usage autorisé. Or Saint Augustin dit positivement qu'il étoit en usage de son tems, de donner le nom de rithme à tout ce qui régloit la durée, dans l'exécution des compositions. Rithmi enim nomen in musica usque adeo patet, ut hæc tota pars ejus, quæ ad diu & non diu pertinet, rithmus nominata sit (*).


4 - Réflexions critiques sur la Poesie et sur la Peinture /

Saint Augustin rend en quelque sorte raison de cet usage, en disant que tout ce qu'un Musicien doit faire, est presque renfermé sous le terme de modulation. Modulatio, quo uno pene verbo tantæ disciplinæ definitio continetur (**).


5 - Réflexions critiques sur la Poesie et sur la Peinture /

Quant aux chants composés sur de la pro- se, on voit bien que c'étoit aussi la quantité d'une syllabe qui décidoit de la valeur de la note placée sur cette syllabe. Peut-être les Anciens ne mesuroient-ils pas les chants de cette espéce-là, & laissoient ils à celui qui battoit la mesure en suivant les principes de l'art rithmique, la liberté de marquer la cadence après tel nombre de tems qu'il jugeoit à propos de réunir, pour ainsi dire, sous une même mesure. Depuis quel tems écriRéflexions critiquesvons-nous la mesure de notre musique? Voilà pourquoi les Anciens mettoient la Poësie au nombre des arts musicaux, Voilà pourquoi la plupart des Auteurs Grecs & Latins qui ont écrit sur la musique, traitent fort au long de la quantité des syllabes, des pieds & des figures du vers, ainsi que de l'usage qu'on en pent faire, pour donner plus d'agrémens & plus d'expression au discours. Que ceux qui seront curieux de connoître à quel point les Anciens avoient approfondi cette matiere, lisent ce qu'en a écrit saint Augustin dans son livre sur la musique.


6 - Réflexions critiques sur la Poesie et sur la Peinture /

On sera bien plus curieux d'apprendre une autre chose, je veux dire la maniere dont la musique métrique marquoit les tems dans toute sorte de mouvemens du corps. Comment, dira-t'on d'abord, les Anciens écrivoient-ils en notes les gestes? Comment s'y Réflexions critiques prenoient-ils pour marquer chaque mouvement des pieds & des mains, chaque attitude & chaque démarche par une figure particuliere qui désignât distinctement chacun de ces mouvemens? Je me contenterai de répondre ici, que l'art d'écrire les notes en gestes, ou, si l'on veut, les Dictionnaires des gestes (car nous verrons que les Anciens avoient de ces Dictionnaires-là, s'il est permis d'user de cette expression) n'étoient point du sort de la musique rithmique dont il s'agit présentement. Elle supposoit l'art d'écrire les gestes en notes, un art déja trouvé & pratiqué. C'étoit la musique hypocritique ou la Saltation, qui enseignoit cette espéce d'écriture. Ainsi nous remettons à en parler, que nous traitions de celui des arts musicaux que les Grecs nommoient Orchesis, & les Romains Saltatio. Comment, répliquerat'on, la musique rithmique s'y prenoit-elle pour asservir à une même mesure, & pour faire tomber en cadence, & le Comédien qui récitoit, & le Comédien qui faisoit les gestes? Je répondrai que c'est une de ces choses dont S. Augustin dit qu'elles étoient connues de tous ceux qui montoient sur le théâtre, & que pour cela même il dédaigne de l'expliquer. Mais comme nous n'avons sur la Poësie & sur la Peinture. plus sous les yeux la chose dont il est question, il ne nous est plus bien facile de concevoir ce que S. Augustin, dit que tout le monde savoit de son tems. Si les passages des Auteurs anciens que nous rapporterons ci-dessous, prouvent que l'Acteur qui récitoit, & l'Acteur qui faisoit les gestes, s'accordoient très-bien, & qu'ils tomboient en cadence avec une grande justesse; ils n'expliquent point la maniere dont ils s'y prenoient pour suivre exactement l'un & l'autre, une mesure commune. On trouve néanmoins dans Quintilien quelque chose des principes sur lesquels ce moyen de les accorder, avoit été trouvé & établi.


7 - Réflexions critiques sur la Poesie et sur la Peinture /

On sera bien plus curieux d'apprendre une autre chose, je veux dire la maniere dont la musique métrique marquoit les tems dans toute sorte de mouvemens du corps. Comment, dira-t'on d'abord, les Anciens écrivoient-ils en notes les gestes? Comment s'y Réflexions critiques prenoient-ils pour marquer chaque mouvement des pieds & des mains, chaque attitude & chaque démarche par une figure particuliere qui désignât distinctement chacun de ces mouvemens? Je me contenterai de répondre ici, que l'art d'écrire les notes en gestes, ou, si l'on veut, les Dictionnaires des gestes (car nous verrons que les Anciens avoient de ces Dictionnaires-là, s'il est permis d'user de cette expression) n'étoient point du sort de la musique rithmique dont il s'agit présentement. Elle supposoit l'art d'écrire les gestes en notes, un art déja trouvé & pratiqué. C'étoit la musique hypocritique ou la Saltation, qui enseignoit cette espéce d'écriture. Ainsi nous remettons à en parler, que nous traitions de celui des arts musicaux que les Grecs nommoient Orchesis, & les Romains Saltatio. Comment, répliquerat'on, la musique rithmique s'y prenoit-elle pour asservir à une même mesure, & pour faire tomber en cadence, & le Comédien qui récitoit, & le Comédien qui faisoit les gestes? Je répondrai que c'est une de ces choses dont S. Augustin dit qu'elles étoient connues de tous ceux qui montoient sur le théâtre, & que pour cela même il dédaigne de l'expliquer. Mais comme nous n'avons sur la Poësie & sur la Peinture. plus sous les yeux la chose dont il est question, il ne nous est plus bien facile de concevoir ce que S. Augustin, dit que tout le monde savoit de son tems. Si les passages des Auteurs anciens que nous rapporterons ci-dessous, prouvent que l'Acteur qui récitoit, & l'Acteur qui faisoit les gestes, s'accordoient très-bien, & qu'ils tomboient en cadence avec une grande justesse; ils n'expliquent point la maniere dont ils s'y prenoient pour suivre exactement l'un & l'autre, une mesure commune. On trouve néanmoins dans Quintilien quelque chose des principes sur lesquels ce moyen de les accorder, avoit été trouvé & établi.


8 - Des Abts du Bos Ausschweifung von den theatralischen Vorstellungen der Alten /

Zu unserm Unglücke, ist keine einzige von denMethoden auf uns gekommen, nach welchen dieAusübung dieser Künste, die in Griechenlandund in Italien so viele Lehrer hatten, beygebrachtwurde. Uebrigens haben diejenigen alten Schriftsteller, welche von der Musik geschrieben haben, und deren Werke übrig geblieben sind, von demMechanischen der der Musik untergeordneten Künste nur sehr wenig beygebracht, weil sie dieselbenals leichte und gewöhnliche Sachen angesehen, mit denen sich nur die gemeinen Lehrmeister umGeld abzugeben hätten. Der hl. Augustinus,(*) Inst. lib. I. cap. 12.(**) Luciani Gymnast. Plutar. de Musica.von den theatr. Vorstell. der Alten.zum Exeempel, welcher von der Musik ein Werkin sechs Büchern geschrieben hat, sagt, daß ervon allen diesen geringern Künsten nicht redenwerde, weil es Dinge wären, die auch die allermittelmäßigsten Schauspieler zu wissen pflegten.Non enim tale aliquid hic dicendum est, quale quilibet Cantores Histrionesque noverunt. (*)


9 - Des Abts du Bos Ausschweifung von den theatralischen Vorstellungen der Alten /

Wir haben es bereits gesagt, daß die rithmische Musik Regeln gegeben, wie man alle Bewegungen des Körpers und der Stimme solcher Gestalt in eine gewisse Mensur bringen solle, daßman den Takt dazu schlagen könne. Der Musikalische Rithmus, sagt Aristides, (*) regiereteben so wohl die Gestus, als die Recitation. Eslehrte also diese Kunst den grossen Nutzen desTakts und der Bewegung desselben; und man wirdaus dem, was wir in den Folgen anführen werden, sehen, daß sie bey den Alten in sehr grossem Ansehen gestanden. Der h. Augustinus sagt andem Orte seiner Retractationen, wo er von seinemBuche über die Musik redet, daß er vornehm(*) De Musica libro. pr.von den theatr. Vorstell. der Alten.lich darinnen zeigen wollen, was für eine wunderbare Hülfe der Takt und die Bewegung desselben, leiste. (*) Et de Musica sexvolumina quantumattinet ad eam partem, quæ rithmus vocatur.


10 - Des Abts du Bos Ausschweifung von den theatralischen Vorstellungen der Alten /

Die Römer welche nicht selten die griechischeTerminologie brauchten, wenn sie von der Musik sprachen, kannten ohne Zweifel die Abstammung derselben, und wußten, was ein eingeführter Gebrauch in der eigentlichen Bedeutungdieser Kunstwörter geändert habe. Nun sagtaber der h. Augustinus ausdrücklich, (**) daßman zu seiner Zeit alles mit dem Namen desRithmus belegt habe, was die Dauer bey Ausführung der Composition angegangen. Rithmienim nomen in Musica usque adeo patet ut(*) Arist. libr. pr.(**) De Musica libr. II.von den theatr. Vorstell. der Alten.hæc tota pars ejus quæ ad diu & non diu pertinet, rithmus nominata sit.


11 - Des Abts du Bos Ausschweifung von den theatralischen Vorstellungen der Alten /

Der h. Augustinus giebt einigermassen denGrund von diesem Gebrauche an, indem ersagt, daß fast alles, was ein Musicus zu thunhabe, unter dem einzigen Worte Modulation begriffen sey. Modulatio, quo uno pene verbotantæ disciplinæ definitio continetur. (**)


12 - Des Abts du Bos Ausschweifung von den theatralischen Vorstellungen der Alten /

Was die Gesänge anbelangt, welche überProsa componirt wurden, so sieht man wohl, daß der Werth einer Note gleichfalls von demWerth der Sylbe abhieng, über welcher sie stand. Vielleicht maassen die Alten die Gesänge von dieser Art ganz und gar nicht ab, sondern liessen demjenigen, welcher nach den Grundsätzen der rithmischen Kunst den Takt schlug, die Freyheit, dieCadence nach jeder beliebigen Anzahl von Zeiten, die er zusammen zu nehmen, und gleichsamunter ein gewisses Maaß zu vereinigen, für gut von den theatr. Vorstell. der Alten.befand, zu bemerken. Und seit wenn schreibenwir denn den Takt in unsere Musik? Dieses nunist die Ursache, warum die Alten die Poesie unter die Zahl der musikalischen Künste rechneten. Dieses ist die Ursache, warum die meistengriechischen und lateinischen Schriftsteller, welchevon der Musik geschrieben, weitläuftig von demWerthe der Sylben, von den Füssen und denVersarten, so wie auch von derselben Gebrauche handeln, um einer Rede mehr Anmuthund Nachdruck dadurch zu geben. Wer es gernwissen will, wie tief die Alten diese Materieergründet haben, mag dasjenige lesen, was der h.Augustinus in seinem Buche von der Musik davon geschrieben hat.


13 - Des Abts du Bos Ausschweifung von den theatralischen Vorstellungen der Alten /

Weit neugieriger wird man seyn, noch etwasanders zu wissen; die Art nehmlich, wie die metrische Musik in jeder Art von Bewegungen desKörpers den Takt angezeiget habe. Wie konnten die Alten, wird man gleich Anfangs fragen, (*) Hr. Burette, Mitglied der Königl. Akademieder schönen Wissenschaften; im 5ten Theile ihrerGeschichte. von den theatr. Vorstell. der Alten.die Gebehrden in Noten bringen? Wie fiengensie es an, jede Bewegung der Füsse und Hände,jede Stellung, jeden Gang durch eine besondereFigur auszudrücken, die jede von diesen Bewegungen deutlich bezeichnete? Auf diese Fragenwill ich hier bloß antworten; daß die Kunst dieGebehrden mit Noten auszudrücken, oder, wennman so sagen will, die Wörterbücher der Gebehrden (denn wir werden sehen, daß die Alten wirklich dergleichen Wörterbücher hatten, wenn mansich anders dieses Ausdrucks hier bedienen darf)kein Werk der rithmischen Musik, von welcherwir gegenwärtig handeln, waren. Sie setzte dieKunst, die Gebehrden in Noten auszudrücken,als eine schon erfundene und in Ausübung gebrachteKunst voraus; welche von der hypocritischen Musik, oder der Saltation, gelehret wurde. Von ihr weiter zu reden, wollen wir alsobis dahin versparen, wo wir von derjenigen musikalischen Kunst handeln werden, welche die GriechenΟρχησις, und die Römer saltationannten. Wie aber, wird man versetzen, fieng esdie rithmische Musik an, daß sie den Schauspieler, welcher recitirte, und den Schauspieler, welcher die Gebehrden machte, in einerley Falle erhalten und beyde mit einerley Takte regierenkonnte? Ich antworte, daß dieses eines von denDingen gewesen sey, von welchen der h. Augustinus sagt, sie wären einem jeden bekannt, dersich mit der Schaubühne zu thun mache, und du Bos,eben deswegen halte er es nicht für werth, sie langezu erklären. Weil wir aber die Sachen, worauf es hier ankömmt, nicht mehr vor Augen haben, so kann man sich nun das so leicht nicht vorstellen, wovon der h. Augutßinus sagt, daß esjedermann zu seiner Zeit gewußt habe. DieStellen, die wir weiter unten aus den alten Verfassern anführen werden, beweisen zwar, daß derSchauspieler, welcher recitirte, und der, welcherdie Gebehrden machte, sehr wohl mit einanderübereinstimmten, und mit der vollkommenstenGenauigkeit einerley Takt hielten; allein die Art,wie dieses geschah, erklären sie nicht. Doch aberfindet man bey dem Quintilian etwas von denGrundsätzen, auf welche die Art und Weise, beyde Schauspieler zu vereinigen, war gebauetworden.


14 - Des Abts du Bos Ausschweifung von den theatralischen Vorstellungen der Alten /

Weit neugieriger wird man seyn, noch etwasanders zu wissen; die Art nehmlich, wie die metrische Musik in jeder Art von Bewegungen desKörpers den Takt angezeiget habe. Wie konnten die Alten, wird man gleich Anfangs fragen, (*) Hr. Burette, Mitglied der Königl. Akademieder schönen Wissenschaften; im 5ten Theile ihrerGeschichte. von den theatr. Vorstell. der Alten.die Gebehrden in Noten bringen? Wie fiengensie es an, jede Bewegung der Füsse und Hände,jede Stellung, jeden Gang durch eine besondereFigur auszudrücken, die jede von diesen Bewegungen deutlich bezeichnete? Auf diese Fragenwill ich hier bloß antworten; daß die Kunst dieGebehrden mit Noten auszudrücken, oder, wennman so sagen will, die Wörterbücher der Gebehrden (denn wir werden sehen, daß die Alten wirklich dergleichen Wörterbücher hatten, wenn mansich anders dieses Ausdrucks hier bedienen darf)kein Werk der rithmischen Musik, von welcherwir gegenwärtig handeln, waren. Sie setzte dieKunst, die Gebehrden in Noten auszudrücken,als eine schon erfundene und in Ausübung gebrachteKunst voraus; welche von der hypocritischen Musik, oder der Saltation, gelehret wurde. Von ihr weiter zu reden, wollen wir alsobis dahin versparen, wo wir von derjenigen musikalischen Kunst handeln werden, welche die GriechenΟρχησις, und die Römer saltationannten. Wie aber, wird man versetzen, fieng esdie rithmische Musik an, daß sie den Schauspieler, welcher recitirte, und den Schauspieler, welcher die Gebehrden machte, in einerley Falle erhalten und beyde mit einerley Takte regierenkonnte? Ich antworte, daß dieses eines von denDingen gewesen sey, von welchen der h. Augustinus sagt, sie wären einem jeden bekannt, dersich mit der Schaubühne zu thun mache, und du Bos,eben deswegen halte er es nicht für werth, sie langezu erklären. Weil wir aber die Sachen, worauf es hier ankömmt, nicht mehr vor Augen haben, so kann man sich nun das so leicht nicht vorstellen, wovon der h. Augutßinus sagt, daß esjedermann zu seiner Zeit gewußt habe. DieStellen, die wir weiter unten aus den alten Verfassern anführen werden, beweisen zwar, daß derSchauspieler, welcher recitirte, und der, welcherdie Gebehrden machte, sehr wohl mit einanderübereinstimmten, und mit der vollkommenstenGenauigkeit einerley Takt hielten; allein die Art,wie dieses geschah, erklären sie nicht. Doch aberfindet man bey dem Quintilian etwas von denGrundsätzen, auf welche die Art und Weise, beyde Schauspieler zu vereinigen, war gebauetworden.


15 - Des Abts du Bos Ausschweifung von den theatralischen Vorstellungen der Alten /

Es wird schwerlich eine Declamation geben, die man nicht mit zehn verschiednen Zeichen,deren jedes eine besondere Beugung der Stimmeandeutet, sollte in Noten schreiben können; undda man die Anstimmung dieser Accente, wennman lesen lernte, zugleich mit lernte, so war fastkein Mensch, der diese Art von Noten nichtsollte verstanden haben. Dieses vorausgesetztkann man sich gar leicht die Vortheile vorstellen, deren sich die Alten bey der Componirung undAusführung ihrer Declamation bedienten. Derh. Augustinus hat also mit Recht gesagt, daßer davon nicht handeln wolle, weil es Dingewären, welche auch der allerschlechteste Komödiant verstünde. Der Takt lag gleichsam schonin den Versen selbst. Der Componist durfte du Bos,sie nur accentuiren und die Bewegung des Taktsvorschreiben; nachdem er dasjenige, was das accompagnirende Instrument spielen sollte, in eineganz einfache und leicht auszuführende Partiegebracht hatte.