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Polybe dit qu'on racontoit autrement le départ de Xanthippe, & promet de l'exposer ailleurs: mais cet endroit n'est pas parve nu jusqu'à nous. On lit dans Appien, queDe Bell.Pun. pag. 3. les Carthaginois, piqués d'une basse & noire Serv. Fulv. M. Æmil. Cons.An. R.497.Av. J. C.255.jalousie de la gloire de Xanthippe, & ne pouvant soutenir l'idée d'être redevables de leur salut à un étranger, sous prétexte de le reconduire par honneur dans sa patrie avec une nombreuse escorte de vaisseaux, donnérent ordre sous main à ceux qui les conduisoient, de faire périr en chemin le Général Lacédémonien, & tous ceux qui l'accompagnoient: comme s'ils avoient pu ensevelir avec lui dans les eaux, & le souvenir du service qu'il leur avoit rendu, & l'horreur du crime qu'ils commettoient à son égard. Une telle noirceur ne me paroit pas croyable, même dans des Carthaginois.


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Appian.

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Polybius sagt, daß man die Wegreise desXantippus anders erzählt habe, und verspricht, an einem andern Orte davon Nachricht zu geben. Allein diese Stelle ist nichtbis auf unsre Zeiten gekommen. Man listde bello Pun. p. 3.im Appian, daß die Carthaginenser aus einer niederträchtigen und schändlichen Eifersucht über die Ehre des Xantippus, und ausVerdruß darüber, daß sie ihre Errettungeinem Fremden schuldig seyn sollten, unterdem Vorwande, ihn mit Ehren unter einerstarken Begleitung von Schiffen in sein Vaterland zurücke zu bringen, unter der Handseinen Führern Befehl gegeben hätten, denLacedämonischen General und alle, die beyihm gewesen wären, umzubringen, als wennsie mit ihm das Andenken des von ihm ihnengeleisteten Dienstes, und das schreckliche Verbrechen, daß sie an ihm begiengen, in derSee hätten begraben können. Eine so abscheuliche That scheint mir nicht einmal vonden Carthaginensern glaublich zu seyn.


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Appian.

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Mais il faut avouer que si la gloire deMort deMarcellusinexcusa-ble.Liv.XXVII. 27.Plut. inMarc. leur vie a été à peu près égale, quoique par un genre de mérite tout différent, la fin de Marcellus paroit donner l'avantage à la sage lenteur de Fabius. Cette (a)mort, déplorable par toutes sortes d'endroits, l'est sur-tout en ce qu'on peut lui reprocher d'avoir exposé au danger de périr sa personne, celle de son collégue, & en même tems toute la République, par une vivacité qui ne convenoit ni à son âge, (il avoit plus de soixante ans) ni à la prudence qu'il devoit avoir acquise depuis tant d'années qu'il faisoit la guerre. Quand la présence du Commandant est nécessaire ou d'un grand poids pour le succès d'une action importante & décisive, il doit pour-lors paier de sa personne. Mais lorsque l'avantage qui reviendra de la vic-

(a) Mors Marcelli, cùm alioqui miserabilis fuit, tum quòd nec pro ætate, (major jam enim sexaginta annis erat) neque pro veteris prudentia ducis, tam improvidè se, collegamque, & propè totam rempublicam in præceps dederat. Liv.

Marcel. et Crispin. Cons.An. R. 544.Av. J. C.208.toire n'est que médiocre, ou qu'il hazarde tout en s'exposant, ce n'est plus bravoure, mais témérité & bravade. Il doit se souvenir qu'il y a une extrême différence entre un Général & un simple soldat. Il ne s'exposera que comme il convient à un Général: comme la tête, & non comme la main: comme celui qui doit donner les ordres, & non comme ceux qui doivent les exécuter. Euripide dit dans Plut. inCompar.Pelop. &Marc.une de ses Piéces, que si un Général doit mourir, ce doit être en laissant sa vie entre les mains de la Vertu: comme pour faire entendre qu'il n'y a point de véritable valeur sans sagesse & sans prudence, & que la vertu seule, non un vain desir de gloire, a droit sur la vie d'un Général; parce que le prémier devoir du courage est App. inBell. Annib.342.de sauver celui qui sauve les autres. Aussi Appien remarque-t-il qu'Annibal le loua comme soldat, & le blâma fort comme Capitaine.


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Ce combat fut le plus sanglant de toute cette guerre, & soit par la mort du Général, soit par le carnage qui fut fait des trou- Neron et Livius Cons. pes Carthaginoises, il servit comme de reAn. R. 545.Av. J. C.207.App. 343.presailles pour la Journée de Cannes; & Appien remarque que ce fut pour consoler & dédommager les Romains de cette terrible perte, que Dieu leur accorda ici un avantage si considérable. Il fut tué dans ce combat cinquante-six mille ennemis, & l'on en fit prisonniers cinq mille quatre cens. On retira des mains des Carthaginois plus de quatre mille citoyens, qui étoient prisonniers chez eux; ce qui fut une consolation pour la mort de ceux qui avoient été tués dans cette bataille. Car cette victoite couta assez cher aux Romains, puisqu'ils l'achetérent par la perte de huit mille des leurs, qui furent tués sur la place. Les vainqueurs étoient si las de tuer & de répandre du sang, que le lendemain, comme on vint dire à Livius qu'il étoit aisé de tailler en piéces un gros d'ennemis qui s'enfuyoit: Non, non, répondit le Général; il est bon qu'il en reste quelques-uns pour porter la nouvelle de la défaite des ennemis & de notre victoire.


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Appien met dans la bouche de ce mêmeAppian.Bello Pun.27-29.Ibid. 33-35.Asdrubal Hœdus une fort belle harangue, mais adressée à scipion. Il rapporte aussi celle du Consul Cn. Lentulus dans le sénat.


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Man muß aber gestehen, wenn auch ihrLeben beynahe gleich rühmlich war, von soverschiedner Art, als ihre Verdienste seynmochten; daß das Ende des Marcellus derweisen Langsamkeit des Fabius den Vorzugzu geben scheinet. Dieser Tod(*), so beweinenswerth er war, so sehr war er auchzu tadeln. Er hatte nicht allein seine eigne Person, sondern auch seinen Collegen, und zu gleicher Zeit die ganze Republick durch seine Lebhafftigkeit, welche weder seinem Alter (denn er war schon über 60 Jahr alt,) noch der Klugheit eines alten Feldherrn anständig war, in die äusserste Gefahr gesetzt. Wann die Gegenwart eines Generals nothwendig ist, oder den Ausschlag einer wichtigen Handlung geben muß, alsdann mußer seine Person wagen. Wann aber deraus dem Siege zu hoffende Vortheil nurmäßig ist, oder wann er durch seine Gefahr alles in Gefahr setzt, so ist es alsdann keine Tapferkeit, sondern Tollkühnheit. Er muß allezeit überlegen, daß ein unendlicher Unterscheid zwischen einem Soldaten und einem General sey. Er muß sich wagen, wie es

(*)Mors Marcelli cum alioqui miſerabilis fuit,tum quod nec pro aetate, (maior iam enimſexaginta annis erat,) neque pro veteris pru-dentia ducis, tam improuide ſe, collegam-que, et prope totam rempublicam in prae-ceps dederat. Liu.

und was sich unter ihnen zugetragen. 77 einem Generale anständig ist; als dasd. 544. J. n. R. E. d. 208. J. v. C. G.Haupt, nicht als die Hand; als der, der die Befehle geben, nicht als der, der sie ausführen muß. Euripides sagt in einem seiner Stücke,wenn ein General sterben muß,Plut in der Vergl. des Pelop und Marc.so muß er sein Leben in den Händen der Tugend lassen. Er will damit sagen, daß keine Tapferkeit ohne Klugheit seyn könne, und daß die Tugend allein, nicht eine eitle Begierde nach Ehre, Recht über das Leben eines Feldherrn habe: denn die erste Pflicht der Tapferkeit ist, denjenigen zu retten, wel cher die andern retten kan. Appianus merktAppian. in bell. An- nib. 342.auch an, daß ihn Hannibal als einen Soldaten gelobt, als einen General aber getadelt habe.


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Dieses Treffen war das blutigste im ganzen Kriege, theils weil der General selbstblieb, theils weil die Carthaginensische Trupen ohne Barmherzigkeit niedergemacht wurden, und sich die Römer für die Schlacht bey Cannä an ihnen rächten. Appius bemerkt, die Götter hätten den Römern deßwegen einen so ausnehmenden Vortheil gegönnet, damit sie sie wegen jenes traurigen Verlusts einigermassen schadlos halten möchten. Es wurden in dieser Schlachtauf 56 tausend Feinde getödtet, und auffünf tausend vierhundert gefangen genommen. Man riß den Carthaginensern mehr als 114 C. Claudius Nero, und M. Livius, Cons.d. 545. J. n. R. E. d. 207. J. v. C. G. fünf tausend Römische Bürger, die ihre Gefangnen waren, aus den Händen, die zurErsetzung derjenigen dienten, welche in demTreffen geblieben waren. Denn dieser Sieg war den Römern auch nicht leichte geworden, weil sie ihn durch den Verlust von acht tausend Mann, die auf dem Platze blieben, erkaufen mußten. Die Sieger waren des Tödtens und des Blutvergissens so satt, daß Livius, als man den Morgen zu ihm kam, und ihm berichtete, daß man eine Menge der flüchtigen Feinde noch niedermachen können, sagte:Nein, nein; es ist gut, daß einige davon übrig bleiben, damit sie den Jhrigen die Nachricht von ihrer Niederlage, und von unserm Siege, bringen können.


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Appianus legt eine sehr schöne Rede, die aber nur an den Scipio gerichtet ist, in denMund eben dieses Hasdrubal Hödus. Er und was sich unter ihnen zugetragen. 417 führt auch des Consuls Lentulus seine, die erd. 551. J. n. R. E. d. 201. J. v. C. G.im Rathe gehalten hat, an.