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Polyb. III. 234. 236. Liv. XXII. 4-7. Plutarch. in Fab.

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Plutarch. in Coriol. p.

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Man weiß, was die Lacedämonier fürGrausamkeiten an den Iloten, die ihre Sklaven waren, ausübten. Dieses geschah in

(*)Serui sunt? Imo homines. Serui sunt? Imocontubernales. Serui sunt? Imo humiles a mici. Senec. ep. 47.

(**)Hominem se esse etiam triumphans sublimisfi mo illo curru admonetur. Suggeritur enim atergo: Respice post TE. Hominem memento Te etiam. Tertullian. Apo log. c. 33.

Et sibi consulNe placeat seruus curru portatur eodem.luuen. Sat. X.

456 Von den Saturnalischen Festen.Plutarch. in Coriol. p. 225. Rom nicht, und Plutarch giebt eine sehr natürliche und begreifliche Ursache davon an.æMan begegnete, sagt er, als er von den ersten Zeiten der Republik redet, den Sklavenmit vieler Gelindigkeit. Die Herren sahen siemehr als Cameraden, als ihre Sklaven an,weil sie mit ihnen das Feld bauten und mitihnen lebten. Deswegen erwiesen sie sichsehr gütig gegen sie, und verstatteten ihneneine Freyheit und Vertraulichkeit, welcheihre Sklaverey sehr verringerte.“


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Plutarch erzählt uns, daß Pompejus beyseinem Triumphe über den Mithridates grossebeschriebene Tafeln vor sich hertragen ließ,worauf man las, daß bis dahin die öffentlichen Einkünfte jährlich sich nicht höher alsPlut. in Pomp.bis auf fünftausend Myriaden, oder funfzigMillionen Attische Drachmen belaufen hätten, die fünf und zwanzig Millionen nach 470 Von den Imposten. unserer (französischen) Münze betragen; daßnun aber durch seine Eroberungen die öffentlichen Einkünfte mit acht tausend fünfdert Myriaden, oder fünf und achzig Millionen Drachmen, nach unserer Münze abermit zwo und vierzig Millionen und fünfhunhundert tausend Pfunden vermehrtworden wären. Wenn man diese beydenSummen zusammen rechnete, so betrugen siesieben und sechzig Millionen und fünfhunderttausend Pfunde. Es ist aber hier nur dieRede von Asien. Die Eroberung von Gallien und Aegypten vergrösserte die Einkünfte des Römischen Volkes noch mehr. DerTribut, den Cäsar auf die Gallier legte, beSvet. in Cæs. XXV Eutrop. I. VI. Vell. II.39.lief sich nach dem Svetonius und Eutropius auf zehn Millionen Drachmen und auffünf Millionen französischer Pfunde. Undnach dem Vellejus bezahlte Aegypten so vielals Gallien.


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Il ne fut pas plutôt entré en charge,Il commence partournerles espritsdu côté dela Reli gion.Liv. XXII.9.Plut. inFab. 176. qu'il assembla le Sénat. Croyant devoir commencer sa Magistrature par des actes de Religion, il fit entendre aux Sénateurs que Flaminius avoit péché beaucoup moins par témérité & par ignorance de l'Art Militaire, que par le mépris qu'il avoit fait des Auspices & du Culte des Dieux. On ordonna un grand nombre de cérémonies. On fit des vœux de plusieurs espéces, entr'autres celui du Printems sacré. Par ceVer sacrum. vœu le Peuple Romain s'engageoit à immoler à Jupiter, dans le tems que l'on fixeroit, tout ce qui seroit né pendant le printems parmi les troupeaux de brebis, de chévres, & de bœufs. On ordonna, pour la même fin, qu'on employeroit à la célébration des grands Jeux la somme de trois16667. livres, àpeu de choseprès. cens mille trois cens trente-trois piéces de monnoie, & le tiers d'une de ces piéces. Cette somme marque que le nombre ternaire étoit regardé, même chez les Payens, comme religieux & sacré. Tous les vœux Cn. Servil. C. Flamin. Cons.An. R.535.Av. J. C.217.différens aiant été faits avec les cérémonies ordinaires, on indiqua le jour de la procession publique, à laquelle se trouva un monde infini tant de la ville que de la campagne. Par toutes ces pratiques, dit Plutarque, il ne travailloit pas à remplir leur esprit de superstition, mais à affermir leur courage par la piété, & à dissiper leurs craintes par une ferme confiance dans la protection du Ciel.


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Je ne puis m'empêcher d'insérer ici la harangue que >Plutarque met dans la bouche de Minucius, laquelle est toute brillante & petille d'esprit, au-lieu que celle de Tite-Live est plus simple.

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Voilà ce que produit une bataille donPlut. inFab. 184.née mal-à-propos, & ce que Fabius avoit prévu. Au-lieu qu'avant le combat Annibal n'avoit en son pouvoir ni ville, ni magasin, ni port en Italie, & qu'il ne fournissoit qu'avec de grandes difficultés à la subsistance de ses troupes, qu'il nourrissoit au jour la journée de ce qu'il pouvoit ravir & enlever, n'aiant aucuns convois surs, ni aucunes provisions pour cette guerre, mais courant çà & là avec son Armée, on pourroit presque dire comme avec une grosse troupe de Brigands: au- lieu de ce triste état, il se trouva tout d'un coup maître d'une grande partie de l'Italie, & dans une riche abondance de vivres & de fourrages. On connut pour lors le prix d'un Général de tête & expérimenté. Ce qu'avant le combat on appelloit dans Fabius lenteur & timidité, pa rut bientôt après, non l'effort d'une Rai- C. Ter. Varro, L. Æmil. Cons.An. R.536.Av. J. C.216.son humaine, mais, dit Plutarque, l'effet d'un Génie divin, qui avoit prévu de si loin les choses qui devoient arriver, & qui paroissoient à peine croyables à ceux qui en faisoient une si triste expérience.


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Quand les Romains eurent donc gagné le pié des murailles, pensant y être bien à couvert, ils se trouvérent encore en bute à une infinité de traits, ou accablés de pierres qui tomboient d'en haut sur leurs têtes, n'y aiant endroit de la muraille qui ne fît pleuvoir incessamment sur eux une grêle mortelle qui tomboit à plomb. Cela les obligea à se retirer en arriére. Mais ils ne furent pas plutôt éloignés, que voilà de nouveaux traits lancés sur eux dans leur retraite: desorte qu'ils perdirent beaucoup de monde, & que presque toutes leurs galéres furent froissées ou fracassées sans qu'ils pussent rendre le moin

* Les Scorpions étoient des machines, des espéces d'arbaletes, dont les Anciens se servoient pour lancer des traits & des pierres.

Q. Fab. M. Cl. Marcel. Cons.An. R.538.Av. J. C.214.dre mal à leurs ennemis. Car Archiméde avoit placé la plupart de ses machines à couvert derriére les murailles, de maniére que les Romains, accablés d'une infinité de coups sans voir ni le lieu ni la main d'où ils partoient, sembloient proprement, dit Plutarque, se battre contre les Dieux.


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Tite-Live & Plutarque n'ont pas jugé si avantageusement de la conduite de Marcellus. Ils observent qu'elle donna lieu, sans doute contre son intention, à un desordre qui causa de grands maux dans la République. “Tousa ces beaux ouvrages de Sculpture, de Peinture, dit le prémier, étoient à-la-vérité des dépouilles qu'on avoit prises sur des ennemis, à qui les régles de la guerre permettoient de les enlever. Mais ce fut-là la triste époque de ce funeste goût que prirent les Ro mains pour les Arts des Grecs, qu'ils n'avoient jusques-là ni connus, ni estimés; qui les porta bientôt à piller sans scrupule dans les provinces, non seulement les maisons des Particuliers, mais aussi les Temples des Dieux; & enfin à exercer leurs vols sacriléges jusques sur les Temples de Rome, & en particulier sur

a Hostium quidem illa spolia, & parta belli jure: ceterùm inde primum initium mirandi Græcarum artium opera, licentiæque hinc sacra profanaque omnia vulgò spoliandi, factum est: quæ postremò in Romanos deos, templum id ipsum primum, quod à Marcello eximiè ornatum est, vertit. Liv. XXV. 40.

Cn. Fulvius, P. Sulpicius. Cons. ceux-là même que Marcellus avoit siAn. R.541.Av. J. C.211. magnifiquement ornés. Car, ajoute cet Historien, on ne voit plus aujourd'hui dans les Temples de l'Honneur & de la Vertu les tableaux & les statues que Marcellus y avoit placés, & qui y attiroient autrefois la curiosité des Etrangers.“


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Plutarque insiste encore plus fortementPlut. inMarc. pag.310. sur cette réflexion. “Jusqu'alors, dit-il, Rome n'avoit eu, ni même connu, ces somptuosités & ces curiosités superflues, & l'on ne trouvoit point chez elle ces ornemens gracieux de Sculpture, qui sont aujourdhui si fort recherchés. Pleine d'armes prises sur les Barbares, & de dépouilles sanglantes; couronnée de monumens de triomphes & de trophées, elle offroit aux yeux un spectacle qui avoit l'air martial, & qui convenoit parfaitement à une nation guerriére & conquérante. Le peuple cependant savoit bon gré à Marcellus d'avoir orné la ville de tant de beaux ouvrages, qui dans leur variété renfermoient toute la grace, toute la dé licatesse, tout le bon goût des Grecs. Les gens sensés ne pensoient pas de- même, & préféroient infiniment la conduite de Fabius Maximus, qui n'emporta rien de semblable de la ville de Tarente qu'il prit deux ans après; mais se contentant de l'or & de toutes les autres richesses utiles, il laissa dans leur place les tableaux & les statues des Dieux. Ce fut à cette occasion qu'il dit cette paro- Cn. Fulvius, P. Sulpicius. Cons.An. R.541.Av. J. C.211.le mémorable, Laissons aux Tarentins. leurs Dieux irrités. On reprochoit àMarcellus, prémiérement qu'il avoit suscité contre Rome la haine & l'envie, en faisant mener en triomphe, non seulement les hommes, mais les Dieux* captifs: ensuite, que d'un peuple accou tumé à faire la guerre ou à labourer ses champs, & qui ne savoit ce que c'étoit que luxe & que mollesse, il en avoit fait un peuple qui ne se piquoit plus que de finesse de goût pour les Arts, & qui ne s'entretenoit plus que de la beauté de ces sortes d'ouvrages, & de l'habileté des Ouvriers.“


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Kaum hatte er dieses Amt übernommen,Er fängt sein Amt damit an daß er die Gemütherzur Religion lenkt. Liv.XXII. 9. Plut.imFab. 176.so versammlete er den Rath. Er hielt fürrathsam, seine Obrigkeitliche Würde durchReligionshandlungen anzufangen, und gab den Rathsherren zu verstehen, daß Flaminius viel weniger durch Verwegenheit und Unwissenheit der Kriegskunst, als durch die Verachtung der Vorbedeutungen und des Götterdiensts, gesündiget habe. Man ordneteviel Ceremonien an. Man that allerley Gelübden, unter andern das Gelübde des geVer sacrum.heiligten Frühlings. Durch dieses Gelübde verband sich das Römische Volk, demJupiter, zu einer zu bestimmenden Zeit, allesim Frühlinge unter den Heerden der Schaafe, Ziegen und Rinder jung gewordene Viehzu opfern. Man befahl, in eben der Absicht,Ohngefehr 16667 Livers.zu der Feyerung der grossen Spiele 300333Stück Müntzen, und den dritten Theil dieser Müntzen, anzuwenden. Diese Summe zeigt an, daß die Zahl 3, auch bey denHeyden für religiös und geheiligt gehaltenworden. Als alle die verschiedenen Gelübden mit den gewöhnlichen Ceremonien warengethan worden, setzte man einen Tag zu deröffentlichen Proceßion an, bey welchersich eine unendliche Anzahl Menschen, sowohl aus der Stadt, als vom Lande, befand. Durch alles dieses, sagt Plutarch,bemühte er sich nicht etwan, ihre Gemüthermit Aberglauben zu erfüllen, sondern ihren und was sich unter ihm zugetragen. 9 Muth durch die Frömmigkeit zu befestigen,d. 535. J. n. R. E. d. 217. J. v. C. G.und ihre Furcht, durch ein standhaftes Vertrauen auf den Schutz des Himmels, zu zerstreuen.


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(*) Ich kan nicht unterlassen, die Rede hieher zu setzen, welche Plutarch dem Minuciusin den Mund legt, und welche ganz prächtigund voll Witz ist! anstatt daß die Rede desLivius einfältiger ist. „Mein Dictator, duhast heute zwey gar merkwürdige Siege davon getragen. Durch deine Tapferkeit hastdu die Feinde, und durch deine Klugheitund Großmuth deinen Collegen überwunden. Durch den einen Sieg hast du unsgerettet, und durch den andern unterrichtet; und so schimpflich und betrübt meinedurch den Hannibal erlittene Niederlage fürmich gewesen, eben so heilsam und rühmlich ist mir auch der Vortheil gewesen, welchen du über mich erhalten hast. Ich nenne dich also meinen Vater; weil ich dirkeinen ehrwürdigern Namen zu geben weiß!obgleich meine Verbindlichkeit gegen dichgrösser ist, als gegen denjenigen, welchermich in die Welt gesetzet hat. Denn ichbin ihm nur mein Leben schuldig: Dir aberhabe ich, nebst meinem Wohl, auch dasWohl aller dieser braven Männer zu dauken.“

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Diese Würkungen brachte eine zur Un Plut. im Fab. 184.zeit gelieferte Schlacht hervor, und dieses wares, was Fabius vorher gesehen hatte. Anstatt daß Hannibal vor dem Treffen wedereine Stadt, noch ein Magazin, noch einenHafen in Italien in seiner Gewalt hatte,und daß er seinen Trupen nur mit der grösten Noth Unterhalt verschaffen konnte, alswelche er von Tag zu Tag nur von demjenigen ernährte, was er rauben und plündernkonnte, auch kein sicheres Geleite oder irgendeinige Zufuhre für diesen Krieg hatte, sondernmit seiner Armee hin und her schweifte, gleichsam als mit einem grossen Trupp Strassenräuber; an statt dieses traurigen Zustandes,fand er sich auf einmahl Meister von einemgrossen Theil Italiens, und in einem reichenUeberflusse von Lebensmitteln für Menschenund Vieh. Man erkennte damals denWerth eines verständigen und erfahrnen Generals. Das, was man vor dem Treffenbey dem Fabius Langsamkeit und Furchtsamkeit nennte, zeugte sich bald darauf, nichtals die Stärcke einer menschlichen Vernunft,sondern, sagt Plutarch, als die Würkungeiner göttlichen Einsicht, welche soweit vonferne vorher gesehen hatte, was geschehenwürde, und was kaum denen, welche es zu und was sich unter ihm zugetragen. 129 ihrem grösten Schmerz erfuhren, glaublichV. R. E. 536. V. C. G. 216.schien.


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Als die Römer nun unter den Mauernwaren, und in Sicherheit zu seyn glaubten,fanden sie sich auf einmal einer unzehlbarenMenge von Pfeilen ausgesetzt, oder wurdenvon Steinen erdrückt, welche von oben auf 312 Q. F. Maximus, u. M. Claud. Marcellus, Cons.d. 538. J. n. R. E. d. 214. J. v. C. G. ihre Köpfe fielen, ohne daß sie unter denMauern einen Ort finden konnten, wo siefür dergleichen Hagel sicher gewesen wären.Dieses zwang sie zum Rückzuge. Alleinkaum waren sie etwas entfernt, als neue Pfeile auf sie losgeschossen wurden, so daß siesehr viel Volk verlohren, und alle ihre Galeren zerschmettert wurden, ohne daß sie denen Feinden den geringsten Schaden gethanhatten. Denn Archimedes hatte seine Machinen gröstentheils hinter den Mauern angebracht, so daß die Römer, welche der unzehlbaren Menge der Pfeile unterliegen musten, und gleichwohl nicht sahen woher sie ka men, wie Plutarchus sagt, mit den Götternzu streiten schienen.


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Titus Livius und Plutarchus haben vonBetrachtungen über die Statuen und Gemählde, welche von dem Marcellus im Triumph aufgeführet wurden.der Aufführung des Marcellus nicht so vortheilhafft geurtheilet. Sie bemerken, daß selbige, ohne Zweifel wider seine Absicht, zueiner Unordnung Anlaß gegeben, welche inder Republick grosses Uebel verursacht. „Alle (*) diese vortrefflichen Werke der Bildhauer- und Mahlerkunst, sagt der erstere, warenzwar wirklich eine Beute, die man den Feindenabgenommen, und zu deren Wegnehmungdie Kriegsmanier die Sieger berechtigte.Allein eben dieses war der betrübte Zeit(*) Hostium quidem illa spolia, et parta belli iure: caeterum inde primum initium mirandiGraecarum artium opera, licentiaeque hincsacra profanaque omnia vulgo spoliandi factumest: quae postremo in Romanos Deos, templum id ipsum primum, quod a Marcello eximie ornatum est, vertit. Liu. XXV. 40. 482 Cn. F. Centumalus, u. P. S. Galba, Cons.d. 541. J. n. R. E. d. 211. J. v.C. G.punct, in welchem die Römer anfiengen, einen Geschmack an den Künsten der Griechen, die sie vorher weder gekannt noch geachtet hatten, zu finden, der sie kurz daraufantrieb, in denen Provinzen nicht nur dieHäuser der Privatpersonen, sondern auchdie Tempel der Götter ohne Bedenken zuplündern, und endlich gar sich auf eine verruchte Art an denen Tempeln Roms undins besondere an demjenigen selbst zu vergreiffen, den Marcellus so vortrefflich ausgezieret hatte. Denn, füget dieser Geschichtschreiber hinzu, man findet in den Tempelnder Ehre und der Tugend heut zu Tagekeines von den Gemählden und keine vonden Statuen mehr, die Marcellus hineingestellet hatte, und welche ehedem die Neugierigkeit der Fremden dahin lockte.“