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16 - Des Abts du Bos Ausschweifung von den theatralischen Vorstellungen der Alten /

Die zwey ersten Erfinder dieser Kunst warenalso Pylades und Bathyllus, die ihre Namenin der römischenGeschichte so berühmt gemachthaben, als es in der neuern Geschichte der Nameeines Angebers irgend einer Stiftung nur immerseyn kann. Pylades hatte die Sammlung seinerGebehrden, so zu reden, aus den drey Samm(*) Zos. Hist. lib. pt.du Bos,lungen der Gebehrden gezogen, von welchen wirbereits gesprochen haben, und die für die Tragödien, für die Komödien und für dasjenige dramatische Gedicht gehörten, welches die AltenSatyren nannten. (*) Pylades hatte die Kunstder Pantomischen Gebehrden ἰταλικην ὀρχησινdas italiänische Tanzen, genennt. Nach denZeiten des Pylades hatte man also vier Sammlungen der theatralischen Gebehrden. Die Emmelie, deren man sich zur Tragödie bediente; den Kordax, den man zur Komödie brauchte;die Sikinnis für die Satyre und die italiänische Art für diejenigen Stücke, welche von denPantomimen aufgeführet wurden. Calliachius, welcher im Jahr 1708 als Professorder schönen Wissenschaften zu Padua starb, (**)behauptet, die Kunst der Pantomimen sey älterals Augustus; allein er beweiset seine Meinungschlecht. Er nimmt für die Kunst der Pantomimen, welche darinn bestand, daß sie ein Stückoder eine aneinander hangende Scene, ohne zureden, vorstellen konnten, das, was Livius (***)imitandorum carminum actum nennet, dieKunst irgend eine Leidenschaft nach Gutbefindentanzend anszudrücken, welche freylich älter alsAugustus war.


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† Most of these remarks upon Aristocra-cies one sees confirmed by the whole firstDecad of Livy, which Machiavel just-ly chose as the fund of his political obser-vations. When senators are entitled to beelected by a certain degree of wealth, Ari-

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* Die meisten von diesen Anmerkungen über die Aristokratie findet man durch die ganze erste Dekas des Livius bestätigt, die Machiavel mit Rechte bey seinen politischen Anmerkungen zum Grunde gelegt hat. Wenn die Senatoren durch einen gewissen Reichthum der Wahl fähig werden, so nennt Aristotelesdie Form eine Oligarchie und macht ein langes Verzeichnis von ihren Gefahren, l. III. c. 5. & l. IV. c. 2. Wenn sie aber ihres tugendhaften Rufs wegen gewählt werden, so nennt er, wie auch einige andre Alten, es eine eigentliche Aristokratie.


19 - Virginia /

Die Geschichte der Virginia ist aus dem Livius und andern zu bekannt, als daß ich mich hier mit Erzehlung ihrer wahren Umstände aufhalten dürfte. Man sehe, wie sich der Dichter dieselben zu Nutze gemacht hat.


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DAns L'Histoire que renferme la fin du Volume précédent, & le commencement de celui-ci, je n'ai point eu Tite-Live pour guide: j'ai lieu de craindre qu'on ne s'en aperçoive que trop. Nous avons perdu la seconde Décade de cet Historien, qui contenoit la guerre contre les Tarentins & contre Pyrrhus, la fin de celle des Samnites, la prémiére Guerre Punique, & les événemens de l'intervalle qui s'est écoulé jusqu'à la seconde. A la vérité nous a- vons les Supplémens de Freinshé mius, qui a ramassé avec un tra AVERTISSEMENT.vail immense, & un discernement merveilleux, une infinité de pas sages répandus de côté & d'autre dans les Auteurs, pour remplir les lacunes & les vuides de Tite- Live, & en faire une histoire suivie. On ne peut trop estimer un Ouvrage si utile, ou plutôt si nécessaire, & composé avec tant d'exactitude, & même avec tant d'élégance: mais ce n'est point Ti te-Live. Rien n'est au dessus du mérite de cet illustre Historien. Il a égalé, par la beauté & la noblesse de son stile, la grandeur & la gloire du Peuple dont il a écrit l'histoire. Il est par-tout clair, intelligible, agréable: mais quand il entre dans des matiéres importantes, il s'éléve en quelque maniére au dessus de lui même, pour les traiter avec un soin particulier, & avec une espéce de complai sance. Il rend présente l'action qu'il décrit, il la met sous les yeux; il ne la raconte pas, il la montre. AVERTISSEMENT. Il peint d'après nature le génie & le caractére des Personnages qu'il fait paroître sur la scéne, & leur met dans la bouche les paroles toujours conformes à leurs sentimens & à leurs différentes situations. Sur-tout, il a l'art merveilleux de tenir tellement les Lecteurs en suspens par la variété des événemens, & d'intéresser si vivement leur curiosité, qu'ils ne peuvent quiter le récit d'une histoire, avant qu'elle soit entiérement terminée.


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DAns L'Histoire que renferme la fin du Volume précédent, & le commencement de celui-ci, je n'ai point eu Tite-Live pour guide: j'ai lieu de craindre qu'on ne s'en aperçoive que trop. Nous avons perdu la seconde Décade de cet Historien, qui contenoit la guerre contre les Tarentins & contre Pyrrhus, la fin de celle des Samnites, la prémiére Guerre Punique, & les événemens de l'intervalle qui s'est écoulé jusqu'à la seconde. A la vérité nous a- vons les Supplémens de Freinshé mius, qui a ramassé avec un tra AVERTISSEMENT.vail immense, & un discernement merveilleux, une infinité de pas sages répandus de côté & d'autre dans les Auteurs, pour remplir les lacunes & les vuides de Tite- Live, & en faire une histoire suivie. On ne peut trop estimer un Ouvrage si utile, ou plutôt si nécessaire, & composé avec tant d'exactitude, & même avec tant d'élégance: mais ce n'est point Ti te-Live. Rien n'est au dessus du mérite de cet illustre Historien. Il a égalé, par la beauté & la noblesse de son stile, la grandeur & la gloire du Peuple dont il a écrit l'histoire. Il est par-tout clair, intelligible, agréable: mais quand il entre dans des matiéres importantes, il s'éléve en quelque maniére au dessus de lui même, pour les traiter avec un soin particulier, & avec une espéce de complai sance. Il rend présente l'action qu'il décrit, il la met sous les yeux; il ne la raconte pas, il la montre. AVERTISSEMENT. Il peint d'après nature le génie & le caractére des Personnages qu'il fait paroître sur la scéne, & leur met dans la bouche les paroles toujours conformes à leurs sentimens & à leurs différentes situations. Sur-tout, il a l'art merveilleux de tenir tellement les Lecteurs en suspens par la variété des événemens, & d'intéresser si vivement leur curiosité, qu'ils ne peuvent quiter le récit d'une histoire, avant qu'elle soit entiérement terminée.


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DAns L'Histoire que renferme la fin du Volume précédent, & le commencement de celui-ci, je n'ai point eu Tite-Live pour guide: j'ai lieu de craindre qu'on ne s'en aperçoive que trop. Nous avons perdu la seconde Décade de cet Historien, qui contenoit la guerre contre les Tarentins & contre Pyrrhus, la fin de celle des Samnites, la prémiére Guerre Punique, & les événemens de l'intervalle qui s'est écoulé jusqu'à la seconde. A la vérité nous a- vons les Supplémens de Freinshé mius, qui a ramassé avec un tra AVERTISSEMENT.vail immense, & un discernement merveilleux, une infinité de pas sages répandus de côté & d'autre dans les Auteurs, pour remplir les lacunes & les vuides de Tite- Live, & en faire une histoire suivie. On ne peut trop estimer un Ouvrage si utile, ou plutôt si nécessaire, & composé avec tant d'exactitude, & même avec tant d'élégance: mais ce n'est point Ti te-Live. Rien n'est au dessus du mérite de cet illustre Historien. Il a égalé, par la beauté & la noblesse de son stile, la grandeur & la gloire du Peuple dont il a écrit l'histoire. Il est par-tout clair, intelligible, agréable: mais quand il entre dans des matiéres importantes, il s'éléve en quelque maniére au dessus de lui même, pour les traiter avec un soin particulier, & avec une espéce de complai sance. Il rend présente l'action qu'il décrit, il la met sous les yeux; il ne la raconte pas, il la montre. AVERTISSEMENT. Il peint d'après nature le génie & le caractére des Personnages qu'il fait paroître sur la scéne, & leur met dans la bouche les paroles toujours conformes à leurs sentimens & à leurs différentes situations. Sur-tout, il a l'art merveilleux de tenir tellement les Lecteurs en suspens par la variété des événemens, & d'intéresser si vivement leur curiosité, qu'ils ne peuvent quiter le récit d'une histoire, avant qu'elle soit entiérement terminée.


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Il étoit fâcheux qu'on n'eût point dans notre Langue une tra duction raisonnable d'un Historien si excellent, & l'on souhaitoit depuis longtems qu'une main habile y travaillât. Mr. Guérin, ancien Professeur de Rhétorique au Collége de Beauvais, a rempli les vœux du Public, en entrepre nant de nous donner en François, non seulement tout ce qui nous reste de Tite-Live, mais encore AVERTISSEMENT. tous les Supplémens de Freinshé mius, & il en a déja fait paroître plusieurs tomes. C'est un grand travail, & qui forme un Corps d'Histoire Romaine complet: j'entens celle de la République. Il ne me convient point d'en faire ici un grand éloge, qui pourroit être suspect, parce qu'il part de la main d'un de mes disciples. Je me contente de dire, ce qui fait, selon moi, la louange parfaite d'u ne Traduction, que celle-ci n'en a point l'air. On y trouvera peut- être quelques négligences, qu'une seconde édition fera aisément disparoître. Il n'est pas étonnant qu'il s'en glisse dans un Ouvrage d'aussi longue haleine que celui-ci.


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Et j'avoue, avec une sincére re AVERTISSEMENT.connoissance, que le Public me traite plus favorablement, que je ne crois le mériter. Au reste, je dois me féliciter moi-même d'avoir formé des disciples qui sont devenus mes maitres, ou du moins, pour ne pas blesser leur modestie, qui me sont d'un grand secours dans la composition de mon OuMr. Crevier.vrage, l'un par sa nouvelle Edi tion de Tite-Live, accompagnée de Notes qui m'éclairent & me guident; l'autre, par la Traduction du même Auteur, à laquelle il travaille encore actuellement. C'est ce qui me met en état de ne pas faire attendre longtems mes Volumes de l'Histoire Romaine. J'espére que le cinquiéme paroîtra avant la fin de l'année courante.


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Lettre sur un passage de Tite-Live, où l'on réfute une interprétation de deux Ecrivains Modernes.

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prétendons, Mr. Crevier & moi, que Tite-Live a dit que Brutus a versé des larmes

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Dans le Traité des Etudes, j'ai marqué „qu'on donne deux sens tout opposés à ces mots, ani mo patrio, sur lesquels seuls roule la difficulté. Les uns prétendent qu'ils signifient, que dans cette occasion la qualité de Consul l'emporta sur celle de pére, & que l'amour de la Patrie étoufa dans Brutus tout sentiment de tendresse pour son fils. D'autres, au contraire soutiennent que ces mots signifient, qu'à travers ce ministére que la qualité de Consul imposoit à Brutus, quelque effort qu'il fît pour supprimer sa dou- leur, la tendresse de pére éclatoit malgré lui sur son visage. Et j'ajoute dans le même endroit, que ce dernier sentiment me paroit le plus raisonnable, II. AVERTISSEMENT. & le plus fondé dans la natu- re.“ Je pense encore de la même maniére, sans condamner ceux qui pensent autrement. C'est sur- tout dans de pareilles matiéres qu'il est permis à chacun d'abonder dans son sens. Mais l'Auteur de la Critique n'auroit pas dû, pour faire valoir le sien, & pour jetter une sorte de ridicule sur le nôtre, supposer, comme il le fait en plus d'un endroit, que nous Pag. 25.prétendons, Mr. Crevier & moi, que Tite-Live a dit que Brutus a versé des larmes; &, comme il s'explique dans un autre endroit, que nous le faisons pleurer comme un imbécille. Ni Mr. Crevier, ni moi, n'avons parlé de larmes, ni supposé que Tite-Li- ve ait fait pleurer Brutus.


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que Tite-Live donne à Annibal est subsiitué à celui de

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Tite-Live fait une pareille réflexion au sujet de Terentius Varro, lorsque revenant à Rome après la bataille de Cannes, qui avoit été perdue par sa faute, il fut reçu par tous les Ordres de l'Etat qui allérent au devant de lui, & le remerciérent de ce qu'il n'avoit pas desespéré de la République: lui, dit l'Historien, qui auroit dû s'attendre aux derniers supplices, s'il avoit été Général à Carthage.


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Ce second Traite' se fit centAn. R.407.Av. J. C.345.Polyp. III.178-180. soixante & trois ans après le prémier, sous le Consulat de Valérius Corvus, & de Popillius Lænas. On y trouve quelques différences. „Les habitans de Tyr & d'Utique, avec leurs Alliés, sont compris dans ce second Traité. On ajoute au Beau Promontoire deux villes peu connues, Mastie & Tarséium, au-delà desquelles les Romains ne pourront naviger. Il y est dit, que si les Carthaginois prennent dans le pays Latin quelque ville qui ne soit pas de la domination Romaine, ils garderont pour eux l'argent & les prisonniers, mais qu'ils ne pourront s'y établir, & qu'ils la remettront aux Romains ... Que les Romains ne trafiqueront point & ne bâtiront point de ville dans la Sardaigne, ni dans l'Afrique ... Qu'à Carthage, & dans la partie de la Sicile Avant-propos. qui obéit aux Carthaginois, les Romains auront, par raport au trafic, les mêmes droits & les mêmes priviléges que les Ci Liv. VII.27.toyens.“ Tite-Live, qui n'a point fait mention du prémier Traité, ne raporte aucun détail de celui-ci, & se contente de dire, „Que les Ambassadeurs de Carthage étant venus à Rome pour faire alliance & amitié avec les Romains, on fit avec eux un Traité.“