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Prémiére campagne de Caton. Philippe se déclare contre les Romains. Il est battu auprès d'Apollonie par le Préteur M. Valerius. Heureux succès des Scipionsgemeint sind Publius und Gnaeus Scipio en Espagne. Département des Provinces. Départ des Consuls. Dasius Altinius d'Arpi, traître aux Carthaginois, comme il l'avoit été aux Romains. Horrible cruauté d'Annibal. Fabius reprend la ville d'Arpi. Cent douze Campaniens se rendent aux Romains. Prise d'Aterne. Grand incendie à Rome. Les deux Scipionsgemeint sind Publius und Gnaeus Scipio font alliance avec Syphax Roi de Numidie. Un Officier Romain forme une Infanterie à Syphax. Traité des Carthaginois avec Gala, autre Roi de Numidie. Syphax est défait deux fois coup sur coup par Masinissa fils de Gala. Les Celtibériens commencent à servir chez les Romains. Pomponius, aussi ignorant Général qu'infidéle Financier, est battu par Hannon. Nouveautés dans la Religion reprimées par l'autorité des Magis- trats. P. Scipion Edile avant l'âge. Fraude des Publicains ou Traitans, & entr'autres de Postumius, punie sévérement. Création d'un Souverain Pontife. Levées faites d'une nouvelle maniére. Les ôtages de Tarente, qui s'étoient sauvés de Rome, y sont ramenés, & punis de mort. Tarente est livrée par trahi

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An. R.538.Av. J. C.214.Prémiérecampagnede Caton.

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C'est sous ces Consuls que Caton, qui devint dans la suite si célébre, fit sa prémiére campagne. Il étoit alors âgé de vingt ans.


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Caton, avant Polybe, pensoit comme lui, & se plaignoit avec amertume du dangereux goût qui s'introduisoit à Rome, & qui commençoit même à y prévaloir. “Jea n'entens déja que trop de personnes, disoit-il, qui louent avec des transports d'admiration ces ouvrages qui font l'ornement de Corinthe & d'Athénes, & qui se rient de l'antique sim plicité des statues de nos Dieux. Croyez- moi, quand on a introduit ici les statues de Syracuse, on y a fait entrer des ennemis, qui tôt ou tard causeront la ruïne de la ville.“


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Dans les beaux tems de la République, les repas, quoique simples, étoient préparés avec soin, mais sans délicatesse recherchée. La gayeté & la liberté qui y régnoient, jointes à l'agrément & à la solidité de la conversation, en faisoient le principal assaisonnement. Caton le Censeur, tout austére qu'il étoit ailleurs, se déridoit & quitoit son sérieux à table. Il n'étoit point ennemi de la joie. Il buvoit velontiers & souvent, mais toujours modérément, & il dit lui-même qu'il aimoitCic. de Senect. n. 46.Plut. inCat. 351. les petits coups: Me delectant pocula, sicut in symposio Xenophontis, minuta & rorantia. Quand il étoit à sa campagne, il prioit Digression sur les tous les jours à souper quelques-uns de ses amis du voisinage, & il passoit joyeusement le tems avec eux, en se montrant homme de très bonne & très agréable compagnie, non seulement à ceux de son âge, mais encore aux jeunes gens, comme aiant une grande expérience du monde, & aiant vu par lui-même & entendu des autres une infinité de choses curieuses, que l'on écoutoit avec plaisir. Il étoit persuadé que la Table étoit un des moyens les plus propres à faire naître & à entretenir l'amitié. A la sienne les propos les plus ordinaires étoient les éloges des bons & braves citoyens, & jamais on ne disoit un mot des méchans ou de ceux qui étoient sans mérite. Caton ne souffroit pas qu'on en parlât à sa table ni en bien ni en mal, & il étoit attentif & adroit à en détourner l'occasion. C'étoita la douceur de l'entretien qui lui rendoit agréables les repas qui duroient longtems; & il savoit bon gré, disoit-il, à la vieillesse, qui, en diminuant en lui le besoin du boire & du manger, lui avoit en récompense augmenté le goût & le plaisir de la conversation. Il fait une remarque fort sensée sur la difCic. de Senect. n. 45.férence du nom que les Grecs & les Romains donnent au repas. Les prémiers l'appellent συμπόσιον, compotatio, ce qui signifie proprement une assemblée de person

a Ego propter sermonis delectationem tempestivis quoque conviviis delector, nec cum æqualibus solùm, (qui pauci admodum restant) sed cum vestra etiam ætate atque vobiscum: habeoque senectuti magnam gratiam, quæ mihi sermonis aviditatem auxit, potionis & cibi sustulit Cic. de Senect. 46.

Repas des Romains.nes qui boivent & mangent ensemble:a par où ils paroissent donner dans les repas la préférence à ce qui en fait le moindre mérite. Chez les Romains, le repas est appellé convivium, une assemblée de personnes qui vivent ensemble, c'est-à-dire qui conversent entr'eux, qui s'entretiennent, qui tiennent des discours également spirituels & agréables; car c'est-là proprement vivre. Aussib Caton disoit-il, que ce qui lui plaîsoit le plus dans les repas, n'étoit point la bonne chére, mais la compagnie & la conversation de ses amis. Y a-t-il parmi nous beaucoup de tables, où les repas se passent de la sorte? Il ne paroit pas que l'on se pique d'y faire grande dépense d'esprit.


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Dans les beaux tems de la République, les repas, quoique simples, étoient préparés avec soin, mais sans délicatesse recherchée. La gayeté & la liberté qui y régnoient, jointes à l'agrément & à la solidité de la conversation, en faisoient le principal assaisonnement. Caton le Censeur, tout austére qu'il étoit ailleurs, se déridoit & quitoit son sérieux à table. Il n'étoit point ennemi de la joie. Il buvoit velontiers & souvent, mais toujours modérément, & il dit lui-même qu'il aimoitCic. de Senect. n. 46.Plut. inCat. 351. les petits coups: Me delectant pocula, sicut in symposio Xenophontis, minuta & rorantia. Quand il étoit à sa campagne, il prioit Digression sur les tous les jours à souper quelques-uns de ses amis du voisinage, & il passoit joyeusement le tems avec eux, en se montrant homme de très bonne & très agréable compagnie, non seulement à ceux de son âge, mais encore aux jeunes gens, comme aiant une grande expérience du monde, & aiant vu par lui-même & entendu des autres une infinité de choses curieuses, que l'on écoutoit avec plaisir. Il étoit persuadé que la Table étoit un des moyens les plus propres à faire naître & à entretenir l'amitié. A la sienne les propos les plus ordinaires étoient les éloges des bons & braves citoyens, & jamais on ne disoit un mot des méchans ou de ceux qui étoient sans mérite. Caton ne souffroit pas qu'on en parlât à sa table ni en bien ni en mal, & il étoit attentif & adroit à en détourner l'occasion. C'étoita la douceur de l'entretien qui lui rendoit agréables les repas qui duroient longtems; & il savoit bon gré, disoit-il, à la vieillesse, qui, en diminuant en lui le besoin du boire & du manger, lui avoit en récompense augmenté le goût & le plaisir de la conversation. Il fait une remarque fort sensée sur la difCic. de Senect. n. 45.férence du nom que les Grecs & les Romains donnent au repas. Les prémiers l'appellent συμπόσιον, compotatio, ce qui signifie proprement une assemblée de person

a Ego propter sermonis delectationem tempestivis quoque conviviis delector, nec cum æqualibus solùm, (qui pauci admodum restant) sed cum vestra etiam ætate atque vobiscum: habeoque senectuti magnam gratiam, quæ mihi sermonis aviditatem auxit, potionis & cibi sustulit Cic. de Senect. 46.

Repas des Romains.nes qui boivent & mangent ensemble:a par où ils paroissent donner dans les repas la préférence à ce qui en fait le moindre mérite. Chez les Romains, le repas est appellé convivium, une assemblée de personnes qui vivent ensemble, c'est-à-dire qui conversent entr'eux, qui s'entretiennent, qui tiennent des discours également spirituels & agréables; car c'est-là proprement vivre. Aussib Caton disoit-il, que ce qui lui plaîsoit le plus dans les repas, n'étoit point la bonne chére, mais la compagnie & la conversation de ses amis. Y a-t-il parmi nous beaucoup de tables, où les repas se passent de la sorte? Il ne paroit pas que l'on se pique d'y faire grande dépense d'esprit.


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Dans les beaux tems de la République, les repas, quoique simples, étoient préparés avec soin, mais sans délicatesse recherchée. La gayeté & la liberté qui y régnoient, jointes à l'agrément & à la solidité de la conversation, en faisoient le principal assaisonnement. Caton le Censeur, tout austére qu'il étoit ailleurs, se déridoit & quitoit son sérieux à table. Il n'étoit point ennemi de la joie. Il buvoit velontiers & souvent, mais toujours modérément, & il dit lui-même qu'il aimoitCic. de Senect. n. 46.Plut. inCat. 351. les petits coups: Me delectant pocula, sicut in symposio Xenophontis, minuta & rorantia. Quand il étoit à sa campagne, il prioit Digression sur les tous les jours à souper quelques-uns de ses amis du voisinage, & il passoit joyeusement le tems avec eux, en se montrant homme de très bonne & très agréable compagnie, non seulement à ceux de son âge, mais encore aux jeunes gens, comme aiant une grande expérience du monde, & aiant vu par lui-même & entendu des autres une infinité de choses curieuses, que l'on écoutoit avec plaisir. Il étoit persuadé que la Table étoit un des moyens les plus propres à faire naître & à entretenir l'amitié. A la sienne les propos les plus ordinaires étoient les éloges des bons & braves citoyens, & jamais on ne disoit un mot des méchans ou de ceux qui étoient sans mérite. Caton ne souffroit pas qu'on en parlât à sa table ni en bien ni en mal, & il étoit attentif & adroit à en détourner l'occasion. C'étoita la douceur de l'entretien qui lui rendoit agréables les repas qui duroient longtems; & il savoit bon gré, disoit-il, à la vieillesse, qui, en diminuant en lui le besoin du boire & du manger, lui avoit en récompense augmenté le goût & le plaisir de la conversation. Il fait une remarque fort sensée sur la difCic. de Senect. n. 45.férence du nom que les Grecs & les Romains donnent au repas. Les prémiers l'appellent συμπόσιον, compotatio, ce qui signifie proprement une assemblée de person

a Ego propter sermonis delectationem tempestivis quoque conviviis delector, nec cum æqualibus solùm, (qui pauci admodum restant) sed cum vestra etiam ætate atque vobiscum: habeoque senectuti magnam gratiam, quæ mihi sermonis aviditatem auxit, potionis & cibi sustulit Cic. de Senect. 46.

Repas des Romains.nes qui boivent & mangent ensemble:a par où ils paroissent donner dans les repas la préférence à ce qui en fait le moindre mérite. Chez les Romains, le repas est appellé convivium, une assemblée de personnes qui vivent ensemble, c'est-à-dire qui conversent entr'eux, qui s'entretiennent, qui tiennent des discours également spirituels & agréables; car c'est-là proprement vivre. Aussib Caton disoit-il, que ce qui lui plaîsoit le plus dans les repas, n'étoit point la bonne chére, mais la compagnie & la conversation de ses amis. Y a-t-il parmi nous beaucoup de tables, où les repas se passent de la sorte? Il ne paroit pas que l'on se pique d'y faire grande dépense d'esprit.


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Je finirai cette digression par une difficulté qui laisse toujours du doute & de l'embarras dans l'esprit. L'habitude où nous sommes de manger assis, fait que nous avons peine à comprendre que la posture des Romains, qui mangeoient couchés sur des lits, pût être aussi commode. Il faut pourtant bien que cela ait été ainsi, puisque les Romains, après avoir longtems suivi la coutume de manger assis, la quitérent enfin, pour adopter l'autre, qu'ils ont toujours observée depuis: ensorte que c'étoit chez eux une marque de douleur & de deuil, que de manger assis. Plutarque rapporte que Caton ne mangea qu'assis depuis l'ouverture de la guerre entre César & Pompée. On ne sait pas l'époque précise de ce changement: mais il y a beaucoup d'apparence qu'il fut la suite & l'effet du commerce des Romains avec les Asiatiques. On sait que ces peuples, vaincus par les armes Romaines, communiquérent à leurs vainqueurs le goût du luxe & des délices, & l'attention à rechercher les aises & les commodités de la vie. Voyons donc comment dans cette situation, qui nous paroit fort gênante, ils mangeoient, buvoient, & s'entretenoient avec les convives.


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(*) Quintus Maximus et bella gerebat vt adolescens, cum plane esset grandis; et Annibalem iuueniliter exultantem patientia sua molliebat; de quo praeclare familiaris noster En nius: (Es ist der alte Cato, welcher hier redet)

Vnus homo nobis cunctando restituit rem.

Non ponebat enim rumores ante salutem.

Ergo magisque magisque viri nunc gloria claret.

Cic. de Senect. n. 10.


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Erster Feldzug des Cato. Philippus erkläret sichgegen die Römer. Er wird bey Apollonia vondem Prätor M. Valerius geschlagen. Glück der Scipionen gemeint sind Publius und Gnaeus Scipio in Spanien. Vertheilung derProvinzen. Abreise derer Consuls. DasiusAltinius, von Arpi, der vorher die Römerverrathen hatte, wird nun ein Verräther derCarthaginenser. Erschreckliche Grausamkeitdes Hannibals. Fabius nimmt die StadtArpi wieder ein. Hundert und zwölf Campanier ergeben sich den Römern. Eroberung der Stadt Aternus. Grosser Brand zu Rom. Die beyden Scipionen gemeint sind Publius und Gnaeus Scipio machen ein Bündnis mit dem numidischen Könige Syphax. Ein römischer Officier errichtet dem Syphax ein Corps Infanterie. Bündnis der Carthaginenser mit Gala, einem andern Könige der Numidier. Syphax wird zweymal nach einander von dem Sohn des Gala, Masinissa, über den Hauffen geworfen. Die Celtiberier fangen an bey den Römern Dienste zunehmen. Pomponius, ein so unerfahrner General, als untreuer Pachter, wird von dem Hanno geschlagen. Denen Neuigkeiten in derReligion wird durch das Ansehen der obrig keitlichen Personen abgeholfen. P. Scipiowird, ehe er das erforderliche Alter erlangt,Bauherr. Harte Bestrafung derer Pachter, und unter andern des Posthumius, wegen gemachtenUnterschleifs. Wahl eines neuen obersten Priesters. Eine auf neue Art angestellte Werbung.Die Geisseln der Stadt Tarent, die aus Rom

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d. 538. J. n. R. E. d. 214. J. v. C. G. Erster Feldzug des Cato.

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Unter diesen Consuls that Cato, der nachheroso berühmt worden ist, und damals bey nahe zwanzig Jahr alt war, seinen ersten Feldzug.


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Cato dachte lange vorher schon, wie Polybius, und beklagte sich sehr empfindlich wegen des gefährlichen Geschmacks, welcher sichin Rom einschlich, und schon die Oberhandzu bekommen anfing. „Ich (*) höre, sagteer, daß nicht wenige die Werke, welche dieZierde von Corinth und Athen sind, lobenund bewundern, und die alte Einfalt unserer Götterbilder verlachen. Glaubet mir,mit den Statuen von Syracus ist ein gefährlicher Feind in unsre Stadt gedrungen.“


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De-là Fabius se rendit à Tarente, & camAn. R. 543.Av. J. C.209.Fabius as-siége &prend Ta-rente parintelligen-ce.Liv.XXVII.15. 16.Plut. inFab. 187.App. inBell. An-nib. 342.pa à l'embouchure même du port. Caton, fort jeune encore, servoit sous lui dans cette campagne. Fabius prépara tout pour le siége. La mer étoit libre pour les Romains, la Flotte des Carthaginois aiant été envoyée à Corcyre, (Corfou) pour seconder le dessein qu'avoit le Roi Philippe d'attaquer les Etoliens. Le hazard lui fournit une occasion de terminer promtement & sans peine une entreprise si importante. Annibal avoit mis dans cette ville un corps de Brutiens pour aider à la défendre. Celui qui le commandoit aimoit éperdument une femme, dont le frére servoit dans l'Armée de Fabius. sur une Lettre que cette femme écrivit à son frére, celui-ci se jetta, de concert avec son Général, dans Tarente comme déserteur. Aidé des caresses artificieuses de sa sœur, il gagna bientôt la confiance de cet Officier, & il l'engagea enfin à livrer aux Romains le quartier de la ville dont la garde lui avoit été confiée. Lorsqu'ils eurent concerté les moyens d'exécuter ce dessein, le soldat sortit secrettement de la ville pendant la nuit, alla trouver Fabius, & l'instruisit des mesures qu'il avoit prises avec le Brutien. Le Général Romain ne perdit point de tems. Après avoir donné, au commencement de la nuit, le signal dont on étoit convenu à ceux qui défendoient la citadelle, & à ceux qui avoient la garde du port, & qu'il se fut placé lui-même vis-à-vis d'un certain endroit Q. Fabius, Q. Fulvius, Cons.An. R. 543.Av. J. C.209.de la ville que le soldat lui avoit indiqué, les trompettes commencérent à se faire entendre tout à la fois de la citadelle, du port, & des vaisseaux qui venoient de la haute mer vers la ville; & l'on affecta de pousser de grands cris, & de faire un extrême fracas dans tous ces endroits dont la ville n'avoit rien à craindre. Fabius cependant tenoit ses troupes bien cachées dans le poste qu'il avoit occupé, & leur faisoit observer un grand silence. L'Officier-Général qui gardoit le canton de la ville vis-à-vis duquel Fabius s'étoit mis en embuscade, voyant que tout étoit tranquille de ce côté-là, au-lieu qu'il entendoit par-tout ailleurs un grand fracas, appréhenda que tandis qu'il demeureroit les bras croisés dans son poste, Fabius ne donnât quelque assaut d'un autre côté. Ainsi il marcha avec ce qu'il avoit de monde vers la citadelle, où il entendoit qu'il y avoit le plus de mouvement & de tumulte. Fabius s'en apperçut bientôt. Il fit porter aussitôt des échelles à la partie du mur où étoit postée la Cohorte des Brutiens, comme il l'avoit appris du soldat qui ménageoit cette intelligence. Ce fut par-là que l'on commença à gagner la muraille, & à passer ensuite dans la ville avec le secours des Brutiens, qui recevoient les Romains à mesure qu'ils se présentoient. On enfonça ensuite la porte la plus prochaine, qui donna lieu aux soldats de Fabius d'entrer en plus grand nombre. Alors poussant de grands cris vers le lever du so- Q. Fabius, Q. Fulvius, Cons. leil, ils s'avancérent jusques dans la placeAn. R. 543.Av. J. C.209. publique sans trouver aucune résistance, & attirérent sur eux tous ceux qui combattoient du côté de la citadelle & du port.


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Jeunesse deCaton.