Suchbegriff: franken_childerich
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1 - Fürstin Amoena Amalia von Anhalt-Köthen an Herzog Wilhelm IV. von Sachsen-Weimar / 240112

Ludwig. Vgl. Anm. 6. Der Beiname dürfte sich von einer Stelle in L'Astrée herleiten, an der d'Urfé die Bedeutung des Namens Mérovée (den F. Ludwig in der PA trug, s. 240301. 240718) erörtert: Le roy Merovée, qui par la grandeur de ses faicts s'est acquis ce nom parmy les Francs, parce qu'en leur langage Merveich signifie, prince excellent, et non pas comme quelques-uns ont osé dire, pour monstre marin, qui attaqua Ingrande sa mere, femme de Bellinus duc de Thuringe et fille de Pharamond, lors qu'elle se vouloit baigner dans la mer, que les Francs aussi nomment Merveich, et duquel ils ont voulu faire croire qu'il avoit esté engendré.Honoré d'Urfé: L'Astrée. Nouvelle édition publiée par Hugues Vaganay. 5 Tle. Reprint Genève 1966, III, 650 (partie 3, livre 12). Vgl. im Deutschen Meerwolf und Wolf als Bezeichnung eines Seeungeheuers oder Fisches: DW VI, 1862 u. XIV.2, 1250.Nicot, 381: Vne sorte de poisson qui se nomme vn Loup, aucuns l'appellent vn merlu, Lupus.Mérovée (Meroveus), sagenumwobener Vater Childerichs I. und Großvater Chlodwigs, nach Fauchet Teilnehmer der Schlacht auf den Katalaunischen Feldern (451), † 458. D'Urfés Quelle: Claude Fauchet: Les antiquitez et histoires gavloises et françoises (Genève 1611), 101: Si est-ce que les Roys de France venus depuis, ont iusques à Pepin esté surnommez Merouingiens comme descedans [!] de son estoc en droite ligne. & tant d'autres Seigneurs qui ont pris plaisir d'autorizer leur bonne fortune par miracles controuuez. Lon a fait ce passe droit à l'antiquité, de luy laisser mesler des choses vrayes auec des fables, affin de rendre les fondateurs des Royaumes, ou Seigneuries plus saincts ou redoutables. C'est pourquoy ie prendrai la hardiesse de coucher ici, ce que i'ay leu de la conception de Nostre Merouée, dans vn auteur plus vieil que le regne de Pepin. Et encores plus hardiment, pource qu'il semble auoir esté suyui par l'Abbé de Vvrspeg. C'est ancien dit, que comme la mere de ce Roy [Clojon] accompagnée de son mary, se fut despouillée pour se baigner en la mer, il en sortit vne beste en forme de Taureau, qui luy courut sus. Or soit qu'elle conceust de la beste ou de son mari, l'enfant qui en vint fut nommé Merouée, pour la Mer, ou les taches qu'il auoit au visage, ressemblans à celles d'vn veau marin, appellé Merueich, ainsi que d'autre disent. Il le croira qui voudra: mais ie vous aduertis, que plusieurs dames du temps passé ont couuert leurs fautes sous le nom des dieux, ou de monstres espouuantables: [...] Toutesfoix ceux qui ne croient pas ces natiuitez monstrueuses, disent, que la plus part des noms de nos anciens, estoient significatis des vœux des peres, ou naturel des enfans: [...]. Partant, que ce mot Merueich signifie en vieil langage François, Prince excellent [...]. Der Vergleich dieser Quelle, die sich 1650 allerdings nicht in F. Ludwigs Bibliothek fand (IP), mit dem Werk d'Urfés beleuchtet nicht nur die fränkische Tendenz und die gattungsmäßige Stilisierung des französischen Romans, sondern enthüllt auch im Treiben der PA ein den französischen und deutschen Adel verbindendes germanophiles Moment. Vgl. außerdem das damalige Interesse F. Ludwigs an Aventinus' etymologischen Versuchen: 230819.